DĂ©sƓuvrĂ© rĂ©duit Ă  devoir vivre de vulgaires petites arnaques, John Dortmunder se voit proposer un coup comme on n’en rencontre trĂšs rarement dans une vie de cambrioleur. Il s’agit de voler une banque. Certes, voler une banque, a priori, cela n’a rien d’extraordinaire. Mais lorsqu’il s’agit de voler non seulement le contenu du coffre mais aussi le bĂątiment tout

LSPD, ArrĂȘtez-vous immĂ©diatement !On a repĂ©rĂ© des spoilers sur cette page. Quittez le secteur, Ă  moins de rencontrer des Ă©lĂ©ments-clĂ©s de l’intrigue ! On oublie mille-et-une choses tous les jours. Si j’étais toi, j’ajouterais ça Ă  la liste. » -Citation favorite de Michael. Michael De Santa, nĂ© Michael Townley, est l’un des trois protagonistes dans Grand Theft Auto V. Histoire Enfance et dĂ©buts dans le crime Enfance Michael Townley naĂźt en 1965 aux États-Unis, dans le Midwest[1]. Dans son enfance, il ne connaĂźt pas la mĂȘme situation que celle de ses futurs enfants son pĂšre est un alcoolique notoire qui le bat rĂ©guliĂšrement. Il vit dans des environnements misĂ©rables Ă  cause de la situation financiĂšre de sa famille. Au lycĂ©e, Michael est quarterback dans une Ă©quipe de football amĂ©ricain dont l’influence s’étend Ă  tout l’État ; lui-mĂȘme excelle dans ce sport et fait mĂȘme la une » d’un journal local. MalgrĂ© son niveau prometteur, son tempĂ©rament trop colĂ©rique et ses nombreuses blessures l’obligent Ă  mettre fin Ă  cette pratique sportive. Premier braquage et peines de prison, renommĂ©e Le temps passe et Michael fait ses dĂ©buts dans le crime en commettant son premier braquage dans la ville de Carcer City en 1988 oĂč il vole dix-mille dollars. La mĂȘme annĂ©e il est arrĂȘtĂ© Ă  deux reprises. En prison, il apprend certaines choses comme l’art du tatouage qu’il pratique sur le postĂ©rieur de son compagnon de cellule. Apprenant de ses erreurs, Michael se perfectionne trĂšs rapidement dans le monde du crime et devient mĂȘme l’un des criminels les plus recherchĂ©s par le Federal Investigation Bureau sur le territoire amĂ©ricain. Rencontre avec Trevor Durant un deal sur un cargo, Michael fait la connaissance de Trevor Philips. Leur plan ne se dĂ©roule pas comme prĂ©vu mais les deux hommes concluent nĂ©anmoins qu’ils feraient une bonne Ă©quipe. Le duo se forme ainsi Michael planifie des boulots » braquages de commerces, vols de toute sorte et Trevor les exĂ©cute. À partir de ce moment-lĂ , les deux hommes se sont forgĂ©s une amitiĂ© puissante mais leur partenariat ne paie pas autant qu’ils auraient pu le souhaiter. À l’époque, Trevor est dĂ©jĂ  un sociopathe aux troubles comportementaux trĂšs marquĂ©s il peut Ă  tout moment abattre quelqu’un dans la rue sur un coup de tĂȘte. Les deux amis sont constamment recherchĂ©s par la police et se cachent du mieux qu’ils le peuvent. Michael fait ensuite la connaissance de Bradley Snider, un ami de Trevor, et de Lester Crest, qui se joignent Ă  eux pour les aider dans certains de leurs braquages — Brad en soutien sur le terrain et Lester pour l’organisation des opĂ©rations. Rencontre et mariage avec Amanda Plus tard, alors que l’amitiĂ© entre Trevor et Michael reste toujours forte, celui-ci rencontre une strip-teaseuse appelĂ©e Amanda. Ancienne prostituĂ©e, elle parvient Ă  s'offrir des implantations mammaires avec l’argent que lui donne Michael pour ses services. Peu Ă  peu, Michael devient un vĂ©ritable proxĂ©nĂšte et si Trevor en profite, leur amitiĂ© se fait moins rayonnante qu’auparavant Ă  cause d’Amanda. Michael et cette derniĂšre tombent amoureux l’un de l’autre, s’installent ensemble dans une caravane dans le Midwest puis se marient. De leur union naissent deux enfants leur fille Tracey qui voit le jour en 1991 et leur fils James, rapidement surnommĂ© Jimmy, nĂ© deux ans plus tard. Affaire de North Yankton Durant l’hiver 2004, Michael, Trevor et Brad braquent une banque Ă  Ludendorff dans l’État de North Yankton aux États-Unis. Il volent plusieurs milliers de dollars puis fuient en voiture pour rejoindre un lieu oĂč les attend un hĂ©licoptĂšre pour une extraction. La police est sur le coup et ralentit leur progression sans pour autant les arrĂȘter. Le temps joue contre eux dans tous les cas la route qui mĂšne au lieu de rendez-vous traverse une voie ferrĂ©e et un train roule dans le mĂȘme sens qu’eux, menaçant de les laisser au bord des rails avec la police. MalgrĂ© un lĂ©ger retard, les trois hommes rĂ©ussissent Ă  passer avant le train qui manque de les Ă©craser. À leur arrivĂ©e, ils sont perdus l’hĂ©licoptĂšre n’est pas lĂ . Soudain, un tireur d’élite du touche Brad depuis un toit, le blessant Ă  la poitrine. Michael se prĂ©cipite alors pour lui venir en aide mais lui-mĂȘme est ensuite touchĂ© Ă  l’abdomen. Les fĂ©dĂ©raux lancent alors un assaut sur les trois hommes. Trevor essaie de les repousser mais finit par fuir. Michael, Trevor et Brad fuyant la police en 2004 aprĂšs le braquage de Ludendorff. En rĂ©alitĂ©, Michael avait passĂ© un accord avant le braquage avec un agent du Dave Norton. Inquiet de son avenir et de celui de sa famille, il s’était vu proposer par Norton de garder l’argent de ses braquages mais d’organiser en retour un coup montĂ© contre ses propres amis dans le but de capturer ou tuer Brad ou Trevor, les deux dans le meilleur des cas. Dave le prĂ©vient aussi qu’il ne sera plus soutenu s’il reprend ses activitĂ©s criminelles dans l’avenir. C’est donc dans l’unique but de sauver Michael et sa famille que le braquage de North Yankton est organisĂ©. AprĂšs ces Ă©vĂ©nements, tout le monde, y compris l’entourage de Michael Ă  l’exception de sa famille le croit mort durant l’assaut, un simulacre d’enterrement a lieu. Trevor croit Brad en prison et son meilleur ami mort alors qu’en rĂ©alitĂ© celui-ci a survĂ©cu, c’est Brad qui a Ă©tĂ© tuĂ© et enterrĂ© Ă  sa place. Quant Ă  Michael, suite Ă  ces Ă©vĂ©nements, un programme spĂ©cial de protection des tĂ©moins du lui permet d’obtenir un nouveau nom de famille — De Santa — et de dĂ©buter ainsi une nouvelle vie, repartir de zĂ©ro. Nouveau nom, nouvelle vie, nouveaux problĂšmes Nouvelle vie Ă  Los Santos et problĂšmes familiaux Tu la vois dans les films. Je voulais arrĂȘter ce que je faisais, tu sais, ça, ce genre de boulot. Être un bon gars pour une fois, un bon pĂšre de famille. J’ai donc achetĂ© une grande maison, je suis venu ici, je me suis posĂ©, en pensant que je serais un pĂšre comme les autres. Mes enfants auraient Ă©tĂ© comme ceux que l’on voit Ă  la tĂ©lĂ©. On aurait jouĂ© au ballon tout en profitant du soleil, mais, tu sais comment c’est. » -Michael en voix-off dans la premiĂšre bande-annonce pour GTA V. Michael, interrogĂ© sur le comportement de son fils Jimmy, dans la premiĂšre cinĂ©matique de GTA V. En 2013, dĂ©sireux de profiter du soleil et de leur nouveau dĂ©part, Michael et sa famille s’installent dans une superbe villa dans le quartier de Rockford Hills Ă  Los Santos dans l’État de San Andreas. Mais le bonheur n’est que de courte durĂ©e Michael ne parvient pas Ă  s’entendre avec ses enfants. Entre Jimmy qui devient un adolescent fainĂ©ant au possible, passant ses journĂ©es Ă  jouer aux jeux vidĂ©os et Ă  fumer, et Tracey qui essaie de devenir une cĂ©lĂ©britĂ©, Ă©berluĂ©e par les Ă©missions de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ©, le pĂšre de famille ne sait plus oĂč donner de la tĂȘte. Quant Ă  sa femme Amanda, elle ne peut plus supporter Michael tout comme leurs enfants et le trompe plusieurs fois. La tension est Ă  son comble chez les De Santa. Michael Ă  droite converse avec son fils James Ă  gauche. Le protagoniste sombre dans l’ennui et regarde la tĂ©lĂ©vision pour passer le temps. PassionnĂ© de cinĂ©ma, il s’est d’ailleurs inspirĂ© de grands casses de films pour ses propres braquages. Je suis riche et malheureux. Tout ce qu’il y a de plus normal dans cette ville. » -Michael Ă  son psychologue, le DÊł Isiah Friedlander. Michael, alors ĂągĂ© de 45 ans, est atteint par des accĂšs de colĂšre intempestifs. Il se fait donc suivre par un psychologue de Los Santos, le DÊł Isiah Friedlander. Ce dernier lui prodigue des conseils pour canaliser sa colĂšre et rĂ©gler ses problĂšmes familiaux. En sortant du cabinet, il croise deux jeunes Afro-amĂ©ricains, Lamar Davis et Franklin Clinton, et leur indique la maison qu’ils recherchent. Rencontre avec Franklin Clinton Je vais te donner mon avis laisse tomber ces conneries. Tu vas risquer ta vie, faire souffrir les gens que tu aimes, blesser, voler, tuer Ă  tour de bras, tout ça pour ramener quelques billets verts. Et encore, si t’as de la chance
 C’est merdique. Fais des Ă©tudes. Tu pourras arnaquer les gens et ĂȘtre payĂ© Ă  le faire. On appelle ça le capitalisme. » -Michael tentant de convaincre Franklin de ne pas se lancer dans le monde du crime lors de leur premiĂšre rencontre. Franklin Ă  gauche va Ă  la rencontre de Michael Ă  droite, chez lui. Plus tard, un des jeunes Afro-amĂ©ricains qu’il avait vus plus tĂŽt, Franklin Clinton, s’infiltre chez lui et vole la BeeJay XL de son fils pour la livrer Ă  son employeur. Michael, ayant repĂ©rĂ© Franklin et anticipĂ© son arrivĂ©e, se cache sur la banquette arriĂšre et attend que le jeune homme quitte la maison avec la voiture. Le quadragĂ©naire menace Franklin avec un pistolet et le force Ă  traverser la vitrine de la concession de son employeur. Ce dernier se fait ensuite tabasser par Michael qui suggĂšre qu’un jour, Franklin et lui pourraient aller boire un verre ensemble. Le jeune Afro-amĂ©ricain perd son emploi Ă  la suite de cette affaire et va rencontrer Michael dans sa maison. Celui-ci, complĂštement lassĂ© de tout, lui parle de son ancienne vie de braqueur ; une vie qui lui manque Ă©normĂ©ment pour toute l’excitation qu’elle a apportĂ© Ă  son existence. Il se qualifie lui-mĂȘme de braqueur Ă  la retraite ». Il essaie de convaincre le jeune homme de ne pas se lancer dans le monde du crime mais Franklin, qui cherche Ă  s’y faire une place, parvient Ă  le persuader et devient le protĂ©gĂ© de Michael. Pour pallier son ennui constant et le manque de sa vie passĂ©e, Michael commence Ă  se demander s’il ne devrait pas reprendre sa vie de criminel. La maison de la famille De Santa Ă  Los Santos. Michael et Franklin travaillent alors ensemble. Le second ayant coupĂ© les ponts avec son employeur, il doit Ă©voluer avec Michael pour gagner de l’argent. En premier lieu, Michael parvient Ă  sauver son fils des ravisseurs qui lui volent son yacht, avec l’aide de Franklin. Ensuite, le quadragĂ©naire dĂ©couvre que son Ă©pouse Amanda le trompe avec son professeur de tennis. Il le poursuit jusque chez lui avec Franklin. EnragĂ©, Michael fait s’effondrer la maison oĂč il s’est rĂ©fugiĂ©, lĂ  encore avec l’aide de Franklin. Braquage de la bijouterie De retour chez Michael, les deux hommes reçoivent la visite imprĂ©vue du puissant mafieux Martin Madrazo avec quelques-uns de ses hommes. Michael ne connaĂźt pas Madrazo mais Franklin est au courant de ses activitĂ©s. Le mafieux lui ordonne de rĂ©unir deux millions et demi de dollars pour rembourser la maison qu’il a fait s’effondrer car elle appartenait en fait Ă  la femme de Madrazo. N’ayant pas d’autre choix, Michael accepte et Franklin se demande comment ils vont pouvoir trouver une telle somme. Michael et son Ă©quipe entrent dans la bijouterie Vangelico dĂ©guisĂ©s en dĂ©ratiseurs si la mĂ©thode subtile est choisie. Pour trouver une solution, Michael retrouve son vieil ami Lester Crest. Le quadragĂ©naire lui explique qu’il a besoin de rĂ©unir une grosse somme d’argent. Lester, d’abord surpris car le croyant mort depuis des annĂ©es, accepte nĂ©anmoins de lui venir en aide s’il tue Jay Norris, le crĂ©ateur du rĂ©seau social LifeInvader. Michael se fait passer pour un employĂ© des locaux des LifeInvader et fait exploser une mini-bombe placĂ©e dans le nouvel appareil imaginĂ© par Norris que ce dernier prĂ©sente en direct Ă  la tĂ©lĂ©vision ! Lester propose ensuite Ă  Michael de braquer la bijouterie Vangelico dans le quartier de Rockford Hills. Tous deux partent en repĂ©rage de la bijouterie pour rĂ©flĂ©chir Ă  des stratĂ©gies d’attaque. Michael entre dans la bijouterie avec des lunettes spĂ©ciales Ă©quipĂ©es d’une camĂ©ra pour cerner les systĂšmes d’alarme, les camĂ©ras et les conduits de ventilation. Il accĂšde ensuite au toit par une portion du bĂątiment en chantier, et repĂšre la bouche de ventilation de la bijouterie. Il retourne alors voir Lester en contrebas qui lui dit qu’il va Ă©chafauder des plans crĂ©dibles. Plus tard, Michael est contactĂ© de nouveau par Lester qui lui demande premiĂšrement de rĂ©flĂ©chir Ă  la formation d’une Ă©quipe, puis de choisir parmi deux initiatives possibles pour braquer la bijouterie. La mĂ©thode subtile l’équipe se fait passer pour des dĂ©ratiseurs. Franklin envoie une grenade de gaz soporifique non-lĂ©tale dans la bijouterie depuis la sortie de ventilation sur le toit. Les clients et le personnel sont endormis. Dans le mĂȘme temps, le pirate recrutĂ© par Michael dĂ©sactive le systĂšme d’alarme et les camĂ©ras de sĂ©curitĂ©, laissant le temps Ă  Michael, Franklin et un braqueur recrutĂ© d’entrer dans la bijouterie et de voler le plus de bijoux possible. Les trois hommes fuient ensuite Ă  moto et atteignent le point d’extraction au terme d’une course-poursuite haletante avec les forces de l’ordre. La mĂ©thode brutale en costumes et avec des casques de moto, armĂ©s de mitraillettes Ă  silencieux, les trois hommes braquent la bijouterie en intimidant tout le monde Ă  l’intĂ©rieur, volant le plus de bijoux possible avant de fuir Ă  moto et de rejoindre le point d’extraction. L’argent volĂ© Ă  la bijouterie permet Ă  Michael de rembourser sa dette envers Martin Madrazo, le reste de la somme Ă©tant partagĂ© entre les membres de son Ă©quipe encore en vie Ă  l’issue du braquage. Les activitĂ©s criminelles du quadragĂ©naire sont officiellement rĂ©engagĂ©es. Retrouvailles avec Trevor Philips Trevor Philips Ă  gauche retrouve son vieil ami Michael Ă  droite et son fils Jimmy au centre. Le braquage de la bijouterie est trĂšs mĂ©diatisĂ© Ă  Los Santos. Michael, tout comme Franklin, font profil bas aprĂšs le braquage. En arrivant chez lui, le quadragĂ©naire retrouve l’agent du Dave Norton qui le soupçonne fortement d’ĂȘtre impliquĂ© dans le braquage, ce que ce dernier rĂ©fute. Un peu plus tard, Michael est surpris de retrouver chez lui son ancien meilleur ami Trevor Philips. Celui-ci est trĂšs en colĂšre car il le croyait mort depuis l’affaire de North Yankton. Il avait en fait vu Ă  la tĂ©lĂ©vision la nouvelle du braquage et a immĂ©diatement pensĂ© Ă  Michael. Dans un premier temps, ce dernier n’est pas trĂšs heureux que Trevor le sache en vie et ne veuille plus le lĂącher d’une semelle, mais ensemble ils rĂšglent quelques problĂšmes familiaux de Michael, comme sa fille Tracey qui veut passer une audition pour une Ă©mission de tĂ©lĂ©vision. Michael et Trevor pourchassent le prĂ©sentateur de l’émission, Lazlow Jones, qui est allĂ© trop loin avec Tracey, et lui font comprendre de ne plus jamais l’importuner. ProblĂšme les relations entre Michael et Tracey se dĂ©gradent Ă  nouveau. Reprise du contact avec Dave Norton et le Mr. K Michael Ă  gauche et Dave Ă  droite discutant Ă  l'observatoire de Los Santos. Dans le mĂȘme temps, Michael reprend contact avec l’agent du Dave Norton qui a maintenant la preuve qu’il est Ă  l'origine du coup de la bijouterie. Ils se retrouvent Ă  l’observatoire Galileo et aprĂšs une brĂšve conversation, Norton lui demande de retrouver un certain Ferdinand Kerimov que l’Agence fait passer pour mort. Or Dave pense qu’il est retenu quelque part, justement interrogĂ© par l’Agence car il dĂ©tient des informations compromettantes pour Norton et ses supĂ©rieurs. Pour vĂ©rifier que Kerimov est en vie, Dave assomme Michael pour qu’il prĂ©tende ĂȘtre mort et entre ainsi dans le bureau du lĂ©giste pour trouver Ferdinand parmi les cadavres. Michael se rĂ©veille alors sur une table d’autopsie avec deux mĂ©decins le croyant mort. AprĂšs s’ĂȘtre occupĂ© d’eux, il dĂ©duit que Kerimov est en vie en inspectant les cadavres alentour. Il quitte ensuite le bĂątiment puis retrouve Norton plus tard Ă  la terrasse d’un cafĂ© en ville. Dave est accompagnĂ© d’un de ses supĂ©rieurs, Steve Haines, et d’un autre homme du Andreas Sanchez. Michael descend en rappel le long de la façade des bureaux de l’Agence pour capturer Ferdinand Kerimov. Les fĂ©dĂ©raux demandent Ă  Michael de capturer Ferdinand Kerimov, de son nom de code Mr. K. Or il se trouve que ce dernier est retenu et interrogĂ© dans les locaux de l’Agence. Michael fait appel Ă  Trevor et Franklin, ensemble ils parviennent Ă  sauver Mr. K et Ă  le ramener en lieu sĂ»r pour ĂȘtre interrogĂ© par le qui veut en savoir plus sur ses activitĂ©s — Haines suspectant Kerimov de liens avec des organisations terroristes. AprĂšs la capture de la cible, le l’interroge avec l’aide de Trevor. Mr. K cĂšde sous la torture et indique la description d’un homme, un trafiquant d’armes qui organise une fĂȘte dans sa maison. Depuis un endroit surĂ©levĂ©, Michael et Norton cherchent l’individu au milieu des invitĂ©s et le trouvent grĂące aux talents de tortionnaire de Trevor. AprĂšs avoir abattu la cible, Mr K. est emmenĂ© Ă  l’aĂ©roport par Trevor pour quitter le pays. Solitude De retour chez lui, Michael retrouve sa femme en pleine sĂ©ance avec Fabien LaRouche, son professeur de yoga, qui propose au quadragĂ©naire de se joindre Ă  eux. Michael effectue quelques figures puis Fabien prend avec Amanda une pose trĂšs suggestive, provoquant la fureur de Michael qui attaque le yogi. AgacĂ©e par l’attitude de son mari, Amanda s’en va avec Fabien. Michael se rend Ă  l’étage et trouve son fils Jimmy qui lui demande d’aller voir un ami qui doit lui dĂ©livrer un paquet dans un restaurant Burger Shot. L’ami de Jimmy donne Ă  celui-ci une boisson et un petit paquet. En conduisant, Michael demande Ă  goĂ»ter la boisson et se sent soudainement affaibli. Jimmy rĂ©vĂšle alors qu’il a droguĂ© la boisson, avant de pousser son pĂšre hors de la voiture et de s’enfuir au volant. Lorsqu’il revient chez lui aprĂšs une sĂ©rie d’hallucinations, Michael se rend compte que toute sa famille est partie, comme l’indique un mot que lui a laissĂ© Amanda. Les siens ne pouvant plus le supporter, ils ont dĂ©cidĂ© de le quitter pour revenir seulement lorsqu’il aura changĂ©. Braquage du port de Los Santos Dans le mĂȘme temps, Trevor emmĂ©nage Ă  Los Santos, dans le quartier de Vespucci Beach. Il est hĂ©bergĂ© par Floyd Hebert le cousin de Wade Hebert, qui travaille au port de Los Santos. InformĂ© de l’arrivĂ©e d’un cargo trĂšs bien gardĂ©, il prĂ©vient Trevor et avec Wade, tous trois partent pour le port en se faisant passer pour des ouvriers. AprĂšs s’ĂȘtre renseignĂ© sur le navire et sa cargaison, Trevor contacte Michael et lui demande de rĂ©unir une Ă©quipe. En rĂ©alitĂ©, le cargo recĂšle l’arme secrĂšte d’une agence de sĂ©curitĂ© privĂ©e nommĂ©e Merryweather Security Consulting. Une autre arme identique est dissimulĂ©e dans l’ocĂ©an. La revente d’une telle arme pourrait rapporter des millions de dollars. Deux solutions s’offrent alors au joueur pour voler l’objet prendre d’assaut le cargo malgrĂ© les gardes afin de retrouver et s’emparer de l’arme dans la cale — une fois l’arme rapportĂ©e sur le quai, le groupe dĂ©cidera de l’abandonner car elle semble exploiter la force nuclĂ©aire, aucun acheteur n’en voudrait sans connaĂźtre sa provenance ; ou bien prendre le large Ă  bord d’un Submersible pour se saisir de l’arme cachĂ©e dans les profondeurs — Michael, Franklin et Trevor rapporteront ensuite l’arme Ă  l’aĂ©rodrome de McKenzie Fields oĂč ils rencontreront Lester. L’ambition de Trevor de vendre leur trouvaille pour vingt millions de dollars Ă  des chinois sera alors douchĂ©e par le stratĂšge qui pensera qu’ils ont affaire Ă  du nuclĂ©aire et qui conseillera aux larrons d’abandonner l’arme ou, encore mieux, de la rapporter lĂ  oĂč ils l’ont trouvĂ©e. Ceux-ci repartent bredouille, déçus de s’ĂȘtre donnĂ© autant de mal pour ne pas empocher un seul dollar. Rencontre de Devin Weston et de Solomon Richards AprĂšs le braquage de Merryweather, Michael est contactĂ© par un millionnaire du nom de Devin Weston. Apparemment au courant que le quadragĂ©naire a un faible pour le cinĂ©ma, Devin lui propose de travailler pour lui et de le mettre ensuite en relation avec Solomon Richards, un cĂ©lĂšbre rĂ©alisateur de Vinewood. Michael accepte sans hĂ©siter et vole quelques voitures rares pour Devin avec l’aide de Franklin et de Trevor. Michael va Ă  la rencontre de Solomon Richards dans son bureau. Le vieil homme l’engage comme assistant et lui demande d’accomplir plusieurs tĂąches pour lui. Solomon rĂ©alise un film en version numĂ©rique qu’il a appelĂ© PĂ©tage de plomb en anglais Meltdown. Le rĂ©alisateur est depuis peu en conflit avec l’acteur vedette Rocco Pelosi qui estime que les participants au film devraient se comporter d’une autre façon que celle dictĂ©e par Solomon. La mission principale de Michael est de convaincre Rocco, ce qu’il pense ĂȘtre parvenu Ă  faire en le passant Ă  tabac. Exil Ă  Sandy Shores et coup de Paleto Bay Exil Ă  Sandy Shores AprĂšs avoir aidĂ© le rĂ©alisateur Ă  se dĂ©barrasser de ses problĂšmes, Michael est contactĂ© par Martin Madrazo, l’homme d’affaires mexicain qui l’avait retrouvĂ© chez lui avant le braquage de la bijouterie. Il souhaite que Michael et Trevor viennent chez lui pour leur demander un service. LĂ -bas, les deux amis rencontrent Patricia Madrazo, l’épouse du millionnaire, et se voient confier la tĂąche d’abattre l’avion de Javier Madrazo, un cousin du maĂźtre de maison, afin de rĂ©cupĂ©rer des dossiers dont Martin a besoin. Ce dernier leur fournit un vĂ©hicule qui contient une arme illĂ©gale de haute technologie. Michael utilise ce fusil de prĂ©cision avancĂ© pour abattre l’avion tandis que Trevor se lance Ă  sa poursuite sur une Sanchez. AprĂšs avoir dĂ©truit le vĂ©hicule qu’il a utilisĂ©, Michael dĂ©couvre avec embarras que Trevor a enlevĂ© la femme de Madrazo dont il dit ĂȘtre tombĂ© amoureux. Coup de Paleto Bay Michael ne comprend pas les agissements de Trevor et finit par s’exiler Ă  Sandy Shores, le petit village de Blaine County oĂč habite justement Trevor. Il vit dans sa caravane pour Ă©viter de subir la colĂšre de Madrazo qui les recherche activement Ă  Los Santos. Pour l’heure, Michael et Trevor ne sont pas en sĂ©curitĂ© Ă  Los Santos, ils sont pourchassĂ©s dĂšs qu’ils essaient d’entrer en ville. C’est Ă  ce moment-lĂ  que les agents du Steve Haines et Dave Norton reprennent contact avec les deux protagonistes. Ils veulent que Michael, Trevor et Franklin les aident encore une fois dans leur lutte contre l’ En effet le prĂ©voit d’infiltrer un laboratoire chimique de l’agence rivale pour leur subtiliser une dangereuse neurotoxine que l’ pourrait utiliser dans une attaque fomentĂ©e avec des terroristes. En premier lieu, les trois protagonistes doivent trouver un Cargobob, un hĂ©licoptĂšre de l’armĂ©e de grande capacitĂ©, ainsi que d’autres Ă©quipements militaires que le ne peut se procurer sans attirer l’attention. Michael, Trevor et Franklin parviennent Ă  trouver des armures et des armes lourdes qu’ils vont utiliser pour s’enfuir aprĂšs le braquage Ă  Paleto Bay. Les trois bandits doivent ensuite constituer une Ă©quipe pour braquer la banque de Paleto Bay. Avec l’aide de Lester, Michael, Franklin, Trevor et leur Ă©quipe parviennent Ă  voler des millions de dollars et Ă  fuir avec des armures blindĂ©es trouvĂ©es dans la banque. Ils fuient la zone malgrĂ© l’arrivĂ©e de l'armĂ©e et de ses Rhino. MalgrĂ© leur bravoure, ils finissent déçus par la part que chaque membre de l’équipe reçoit puisque Haines et Norton confisquent la part congrue pour organiser l’infiltration du laboratoire de l’ Pour affaiblir l’influence de Merryweather, Trevor fait dĂ©railler un train de marchandises transportant notamment de l’or et des objets de grande valeur. Le train dĂ©raille sur le pont qui enjambe Raton Canyon et s’effondre dans la riviĂšre en contrebas ; Michael arrive en bateau et rĂ©cupĂšre la marchandise avant de fuir avec Trevor aprĂšs une course-poursuite tout au long de la gorge avec les bateaux de Merryweather. Michael avait au passage rĂ©cupĂ©rĂ© une statuette recherchĂ©e par Madrazo qui Ă©tait parmi les marchandises du train. Trevor dĂ©sapprouve ce choix et s’avĂšre une nouvelle fois déçu de son meilleur ami, mais lui confie vouloir absolument rĂ©aliser le plus grand braquage de tous les temps quand ils auront rĂ©glĂ© les tracas que sont le et Madrazo. L’infiltration du laboratoire de chimie Puisque tout est rĂ©uni pour mettre au point l’assaut du laboratoire, Michael, Steve et Dave infiltrent le laboratoire de l’ et volent avec succĂšs la neurotoxine qu’ils Ă©taient venus chercher. MalgrĂ© tout, Haines choisit de leur faire gagner du temps pour s’enfuir avec l’agent chimique en se tirant une balle dans la jambe pour faire croire Ă  leurs poursuivants de l’ qu'il n’avait pas pu arrĂȘter Michael et Dave. Retour Ă  North Yankton, confrontation avec Trevor et enlĂšvement Trevor et Michael, lors de leur confrontation Ă  Ludendorff, neuf ans aprĂšs le braquage qui avait coĂ»tĂ© la vie Ă  leur Ă©quipier Brad. Peu aprĂšs ces Ă©vĂ©nements, Trevor dĂ©couvre que Michael lui a menti depuis le dĂ©but. En effet, il est au courant du coup montĂ© de son meilleur ami et de Dave Norton qui avait engendrĂ© tous leurs problĂšmes neuf ans plus tĂŽt. Trevor dĂ©couvre notamment que Brad est mort, contrairement Ă  ce que lui faisait croire le qui lui a toujours soutenu que son ami Ă©tait en prison depuis le braquage. Norton Ă©tait en fait l’auteur des courriels Ă©changĂ©s avec Trevor depuis des annĂ©es. Je crois que le seul truc qui s’est pas passĂ© comme prĂ©vu, c’est que je me pointe chez toi dix ans plus tard. Mikey. J'ai pleurĂ© ta mort. [
] T’es qu’un enculĂ© de traĂźtre ! » -Trevor lors de sa confrontation avec Michael Ă  Ludendorff, juste aprĂšs avoir dĂ©couvert qui est enterrĂ© Ă  sa place. Fou de rage, Trevor retourne Ă  Ludendorff dans l’État de North Yankton, lĂ  oĂč ils avaient perpĂ©trĂ© le braquage qui avait tout changĂ© en deux-mille-quatre. Michael tente de rattraper son meilleur ami pour le calmer et le poursuit jusqu’au cimetiĂšre de Ludendorff, oĂč Michael est censĂ© ĂȘtre enterrĂ© depuis des annĂ©es. LĂ -bas, Trevor est trĂšs en colĂšre et menace d’abattre Michael s’il ne le laisse pas voir qui est enterrĂ© Ă  sa place. Trevor creuse la tombe de son ami et dĂ©couvre que c’est en fait Brad qui est enterrĂ© lĂ . C’en est trop pour Trevor qui est sur le point de tuer Michael lorsqu’ils sont assaillis par des hommes de Wei Cheng, le chef des Triades de Los Santos qui avait refusĂ© de travailler avec Trevor pour le trafic de mĂ©thamphĂ©tamine. Ce dernier prend la fuite, Michael tente de l’imiter et monte dans sa voiture mais Trevor l’a sabotĂ©e, elle ne peut plus dĂ©marrer. Michael est alors enlevĂ© par les hommes de Cheng qui le ramĂšnent Ă  Los Santos et le torturent. En rĂ©alitĂ©, Wei Cheng recherchait Trevor et non Michael mais il ne savait pas lequel des deux il Ă©tait. Heureusement, Michael est sauvĂ© de justesse par Franklin un peu plus tard. Braquage du quartier gĂ©nĂ©ral du rĂ©union de famille et litiges avec Devin Weston L’attaque des bureaux du Michael et Franklin sont Ă  nouveau sollicitĂ©s par Steve Haines qui leur demande de voler des fichiers sous haute protection informatique au quartier gĂ©nĂ©ral du FIB ; ces fichiers comportent des preuves compromettantes sur Haines qui pourraient rĂ©vĂ©ler qu’il est corrompu. Michael et Franklin constituent une nouvelle Ă©quipe de braqueurs et Ă©chafaudent deux plans avec l’aide de Lester par le feu, c’est-Ă -dire dĂ©clencher un incendie dans les bureaux du se faire passer Franklin, Michael et le braqueur choisi pour des sapeurs-pompiers et voler les fichiers avant de prendre la fuite ; ou alors par les airs, auquel cas les deux protagonistes et le braqueur dĂ©signĂ© pour la mission sautent d’un hĂ©licoptĂšre du NOOSE et atterrissent sur le toit des locaux du avant d’entrer Ă  l'intĂ©rieur pour subtiliser les fichiers et sortir du bĂątiment en tuant quiconque entravera leur fuite. AprĂšs cette opĂ©ration, Haines assure Ă  Michael qu’il ne sera plus ennuyĂ© par le La fusillade au Kortz Center Michael, Dave Norton, Steve Haines, le et l’ rĂ©unis au Kortz Center. MalgrĂ© la promesse de Haines, Michael est contactĂ© par Dave Norton qui lui demande de le retrouver au Kortz Center. En fait, Haines a piĂ©gĂ© le quadragĂ©naire et l’arrĂȘte pour les braquages successifs de plusieurs banques dans tout l’État de San Andreas, dont la plupart ont Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©s sous les ordres de Haines lui-mĂȘme. C’est Ă  ce moment que s’invite l’ dont une Ă©quipe prend d’assaut le Kortz Center sa prĂ©sence s'explique par le fait que l'agent Sanchez, un coĂ©quipier de Haines, est en fait un agent infiltrĂ© de l’ Haines prend la fuite alors que Michael et Dave doivent se frayer un chemin entre les coups de feu Ă©changĂ©s par les soldats des deux agences rivales. De plus en plus en difficultĂ©, ils assistent Ă  l’apparition de Trevor qui avoue ne pas pouvoir laisser tomber son vieil ami Michael. Ce dernier et Dave parviennent Ă  s’enfuir. Michael est poursuivi par un Buzzard qu’il parvient Ă  dĂ©truire ou Ă  semer. Il retrouve ensuite Trevor dans une allĂ©e, celui-ci affirme qu’il ne lĂąchera pas Michael tant qu’ils n’auront pas rĂ©alisĂ© leur dernier coup, le plus grand et le plus audacieux braquage de tous les temps. Une famille rĂ©unie et litiges avec Devin Weston AprĂšs cela, Michael tente de renouer avec sa famille. Il retrouve Jimmy, Amanda et Tracey qui reviennent habiter avec lui Ă  Rockford Hills. Michael passe Ă  tabac Fabien, le professeur de yoga avec qui Amanda et les enfants s’étaient enfuis. Les De Santa sont Ă  nouveau rĂ©unis. Dans le mĂȘme temps, il dĂ©barrasse Solomon Richards de Rocco Pelosi, l’homme qui compromettait leurs projets, en le tuant, lui et ses hommes. Satisfait, Solomon fait de Michael le producteur exĂ©cutif de son prochain film, celui dont il lui avait parlĂ© PĂ©tage de plomb. Mais c’était sans compter Devin Weston, le riche actionnaire de Merryweather, qui se prĂ©sente aux deux cinĂ©astes en dĂ©clarant son intention de manipuler le contrat d’assurance du studio en dĂ©truisant la bobine du film pour toucher des rĂ©parations avant d’obtenir la fermeture du studio. Devin subtilise la bobine Ă  Solomon et la confie Ă  son assistante Molly Schultz qui prend la fuite. Cette situation fait entrer Michael dans une rage folle il poursuit Molly jusque sur les pites de l’aĂ©roport international de Los Santos oĂč elle est accidentellement aspirĂ©e puis dĂ©chiquetĂ©e par un rĂ©acteur d’avion dans un hangar. Toutefois la bobine est restĂ©e intacte et Michael peut la remettre Ă  Solomon. Celui-ci organise une avant-premiĂšre de PĂ©tage de plomb Ă  laquelle Michael est invitĂ© en tant que producteur exĂ©cutif avec son fils Jimmy. Sur le tapis rouge nĂ©anmoins, aprĂšs des retrouvailles amusantes avec Lazlow, l’homme qui avait tentĂ© de faire de sa fille une vedette pornographique, Michael tombe Ă  nouveau sur Devin Weston qui lui recommande de retourner chez lui en vitesse car sa femme et sa fille pourraient ĂȘtre en danger. Michael rentre immĂ©diatement Ă  la maison familiale et tue tous les hommes de Merryweather qui ont osĂ© attaquer son foyer. Cet imprĂ©vu lui fait prendre conscience que sa famille n’est plus en sĂ©curitĂ©, il envoie donc ses proches se rĂ©fugier dans un endroit oĂč Merryweather ne les ennuiera pas. Le coup du siĂšcle Les Ă©vĂ©nements qui s’enchaĂźnent poussent Michael Ă  rĂ©aliser son rĂȘve, ainsi que celui de toute son ancienne Ă©quipe. Il rappelle Lester le coup du siĂšcle est officiellement en prĂ©paration. Trevor et Franklin sont appelĂ©s pour mener Ă  bien l’opĂ©ration avec Michael sur le terrain, qui a dĂ©jĂ  rĂ©uni une Ă©quipe de braqueurs et chauffeurs pour leur venir en aide. Le braquage vise le coffre-fort de la banque la mieux protĂ©gĂ©e de la cĂŽte Ouest des États-Unis, situĂ©e Ă  Los Santos l’Union Depository. Deux choix s’offrent aux malfaiteurs pour rĂ©aliser le braquage dont ils ont toujours rĂȘvĂ© par la maniĂšre subtile, qui consiste Ă  pĂ©nĂ©trer les locaux en se faisant passer pour des agents de la sociĂ©tĂ© Gruppe Sechs qui assurent le transport de fonds ; il leur faudra alors trouver des herses que seules les forces de police utilisent qui leur serviront Ă  immobiliser les Securicar des convoyeurs de fonds, et modifier des Gauntlet qui leur serviront Ă  transporter l’argent. Seulement le convoi est toujours surveillĂ© par un hĂ©licoptĂšre, l’équipe doit donc parvenir Ă  l’immobiliser avec les herses dans un tunnel hors du champ de vision de l’hĂ©licoptĂšre avant d’entrer dans la banque et d’atteindre la salle du coffre pour prendre l’argent que les vrais convoyeurs devaient transporter et repartir incognito jusqu’à un point de ralliement oĂč les lingots d’or seront chargĂ©s dans le coffre des Gauntlet. Le transport est toutefois perturbĂ© par Merryweather Franklin et le pirate dĂ©signĂ© pour mener la mission Ă  bien, doit modifier les feux de circulation pour permettre au reste de l’équipe de ne pas ĂȘtre interceptĂ© par Merryweather. Une fois les Gauntlet rejointes, Michael offre un lingot d’or Ă  un convoyeur de fonds qu’il avait forcĂ© Ă  venir pour rendre leur fausse identitĂ© encore plus crĂ©dible, cet homme connaissant le code pour ouvrir la salle du coffre et les appellations des diffĂ©rents vĂ©hicules. Mais Merryweather, dĂ©sormais au courant du braquage, envoie ensuite de nombreux soldats Ă  leur poursuite et alerte la police. Les agents de Merryweather sont dĂ©cimĂ©s par l’équipe mais la police les prend en chasse. Finalement, les quatre Gauntlet parviennent Ă  semer toutes les forces de police de la ville en entrant dans un tunnel puis en montant Ă  l’intĂ©rieur des camions banalisĂ©s dont les conducteurs ne sont autres que les chauffeurs dĂ©signĂ©s pour la mission. Au bout du compte, l’équipe parvient Ă  voler au maximum 201 000 300 $ et finit saine et sauve. ou bien la maniĂšre forte, impliquant cette fois d’attaquer purement et simplement cette banque trĂšs sĂ»re ; dans ce scĂ©nario, Michael et le braqueur dĂ©signĂ© pour la mission se rendent directement dans le hall de l’Union Depository et intimident les tĂ©moins Ă  l'intĂ©rieur. Dans le mĂȘme temps, Franklin et le second braqueur choisi s’infiltrent sur le chantier souterrain qui devrait accueillir de nouvelles lignes de mĂ©tro pour Los Santos. Il se trouve qu’en rĂ©alitĂ©, un emplacement spĂ©cifique des tunnels creusĂ©s est en fait un mur commun avec la salle du coffre de la banque. Franklin et le braqueur utilisent une foreuse pour dĂ©truire cette partie du mur et volent les lingots en les empilant sur des palettes. Des hommes du National Office of Security Enforcement NOOSE dĂ©barquent nĂ©anmoins et ne facilitent pas l’extraction du butin. Couvert par Franklin, le braqueur charge l’argent sur les palettes et, une fois tous les agents du NOOSE dans les tunnels tuĂ©s, Trevor et un autre pilote arrivent avec deux hĂ©licoptĂšres au-dessus du tunnel en chantier qui fait un grand trou Ă  la surface et font passer des cĂąbles Ă  Franklin qui attache les palettes remplies d’or aux hĂ©licoptĂšres. Trevor et le pilote s'Ă©loignent ensuite avec l’argent vers Blaine County pour le placer sur un train. Pendant que les hĂ©licoptĂšres effectuent le trajet, Michael, Franklin et les deux braqueurs fuient l’Union Depository face aux multiples renforts du NOOSE, du et du Los Santos Police Department. Ils parviennent Ă  semer leurs poursuivants mais Trevor et le pilote du second hĂ©licoptĂšre sont traquĂ©s par Merryweather qui envoie Ă  son tour des hĂ©licoptĂšres pour les abattre. Depuis l’hĂ©licoptĂšre de Trevor, Lester abat tous les hĂ©licoptĂšres adverses de Merryweather au moyen d’un lance-roquettes. Il est Ă  noter que si un chauffeur bon marchĂ© est choisi pour cette mission, la moitiĂ© du butin sera perdue puisque son hĂ©licoptĂšre et son contenu seront dĂ©truits. Trevor et Ă©ventuellement l’autre pilote placent ensuite les palettes d’or sur le train en marche pour un maximum de 201 000 600 $ et s’en vont retrouver le reste de l’équipe. AprĂšs le braquage, toute l’équipe se rĂ©unit pour savourer rapidement sa victoire mais Michael prĂ©fĂšre Ă©courter la fĂȘte. Il part avec Trevor et Franklin retrouver Lester dans sa villa de Rockford Hills. Leur rĂȘve s’est rĂ©alisĂ© ils ont commis le casse du siĂšcle ! Fins AprĂšs le braquage, Devin Weston se prĂ©sente chez Franklin et lui ordonne de tuer Michael ou Trevor. Le protagoniste peut alors choisir lequel des deux il va tuer ou bien dĂ©cider de les sauver tous les deux. Franklin appelle Trevor pour le retrouver dans un endroit isolĂ©. Une fois l’appel terminĂ©, Michael est contactĂ© Ă  son tour et Franklin lui demande s’il peut lui venir en aide. AprĂšs une course-poursuite effrĂ©nĂ©e entre Franklin et Trevor qui avait compris ses intentions, celui-ci est percutĂ© par Michael. Le Bodhi de son meilleur ami s’encastre dans une citerne et Trevor, Ă  terre, est recouvert d’essence. Franklin ou Michael s’il refuse de tirer tire sur l’essence, entraĂźnant la mort de Trevor par le feu. Franklin se rappelle ensuite Ă  quel point Trevor Ă©tait fou et pour lui, c’était ce qui l’avait menĂ© Ă  sa perte. Michael regrette au fond de lui de voir son meilleur ami mourir ainsi mais fait remarquer Ă  son protĂ©gĂ© que dans la vie, il faut survivre et que le reste, c’est des conneries ».Franklin tĂ©lĂ©phone Ă  Michael et lui demande de le retrouver dans un endroit isolĂ©. Michael s’y rend et dans le mĂȘme temps, Franklin tĂ©lĂ©phone Ă  Trevor pour lui proposer de l’accompagner mais celui-ci refuse car pour lui, Franklin va devenir un traĂźtre. Une fois Franklin et Michael sur place, le second reçoit un appel de sa femme qui lui dit que Tracey, leur fille, a dĂ©cidĂ© d’aller Ă  l’universitĂ©. TrĂšs heureux de la nouvelle, Michael raccroche mais Ă  l’expression de Franklin, il comprend le but de la rencontre. Le quadragĂ©naire fuit avec sa voiture jusqu’à une raffinerie dans le dĂ©sert. Une course-poursuite Ă  pied entre les deux hommes se termine sur une sorte de chĂąteau d’eau Ă  des dizaines de mĂštres du sol. Michael dit Ă  Franklin qu’il Ă©tait comme un fils pour lui mais qu’il aurait dĂ» le tuer dĂšs le premier jour oĂč ils s’étaient rencontrĂ©s. Franklin saute sur son mentor et leur affrontement Ă  mains nues fait tomber Michael par-dessus la rambarde mais il est rattrapĂ© de justesse par son protĂ©gĂ©. Seul le bras de Franklin sĂ©pare le quadragĂ©naire d’une chute mortelle. Son protĂ©gĂ© peut choisir de le lĂącher ou de le hisser, mais dans les deux cas, Michael se laissera tomber et ira s’écraser en contrebas. Si cette option est choisie, il sera impossible de jouer en tant que Michael Ă  nouveau. De plus, Trevor dĂ©testera Franklin pour avoir assassinĂ© son meilleur ami, ils ne sortiront plus ensemble. La part de Michael qu’il a perçue Ă  la suite du coup du siĂšcle sera versĂ©e Ă  la famille de Michael, comme le stipule un courriel envoyĂ© Ă  Trevor et Franklin par Lester, dans lequel il dit aussi espĂ©rer qu’aucun des deux hommes n’a quoi que ce soit Ă  voir avec la mort de Michael. Je vais te dire, Trevor
 Je commence Ă  ĂȘtre trop vieux pour ces conneries. » -Michael Ă  Trevor aprĂšs la mort de Devin Weston, annonçant sa retraite du crime. Il s’agit Ă©galement de la derniĂšre rĂ©plique de dialogue du jeu. Franklin choisit la troisiĂšme option. Il appelle Lester, lui confie qu’il est face Ă  un dilemme et dĂ©clare qu’il est grand temps d’en finir avec tous ceux qui les ont exploitĂ©s, Michael, Trevor et lui. Franklin demande Ă  Lester de contacter les deux autres et de leur dire de le retrouver dans une fonderie Ă  l’extĂ©rieur de la ville. Franklin amĂšne Lamar avec lui et retrouve Michael et Trevor. LĂ -bas, le lance une attaque massive. Les quatre hommes se dĂ©fendent et font ensuite un choix. Franklin s’occupe de Wei Cheng, le mafieux chinois qui a refusĂ© de travailler avec Trevor et qui a failli ĂŽter la vie Ă  Michael. Michael s’occupe de Stretch, un membre du gang des Familles qui a trahi Lamar et Franklin. Trevor s’occupe de Steve Haines puis se rend directement chez Devin Weston pour le kidnapper. AprĂšs avoir enlevĂ© Devin Weston en l’enfermant dans le coffre de sa voiture, Trevor retrouve Michael et Franklin au bord d’une falaise dans Blaine County. AprĂšs avoir fait leurs adieux au milliardaire, les trois complices renferment Devin dans le coffre de la voiture et poussent l’auto du haut de la falaise pour la voir exploser en s’écrasant sur le sol en contrebas. Franklin, Trevor et Michael sont maintenant libres, ayant exterminĂ© tous ceux qui s’étaient servi d'eux. Les trois protagonistes peuvent toujours sortir ensemble. Quant Ă  Michael et Dave Norton, leur relation ne se dĂ©tĂ©riore pas malgrĂ© la mort de Haines, l’agent du souhaite au criminel une bonne continuation. Meurtres commis Jay Norris — tuĂ© pour le compte de Lester Crest afin qu’il se joigne Ă  Michael pour ses braquages. Tahir Javan — abattu sous l’ordre de Steve Haines car soupçonnĂ© d’ĂȘtre liĂ© Ă  des rĂ©seaux terroristes. Walton O'Neil — assassinĂ© pour des litiges avec Trevor Philips. Wynn O'Neil — assassinĂ© pour des litiges avec Trevor Philips. Gianni — tuĂ© pour avoir manquĂ© de respect Ă  Solomon Richards. Rocco Pelosi — tuĂ© pour avoir manquĂ© de respect Ă  Solomon Richards. Stretch — tuĂ© pour avoir trahi Franklin et Lamar. Devin Weston — assassinĂ© pour avoir tentĂ© de faire disparaĂźtre Michael et sa famille. Meurtres optionnels Blake — peut ĂȘtre tuĂ© au cours de la mission La Petite ChĂ©rie Ă  son papa ». Isiah Friedlander — peut ĂȘtre tuĂ© lors de la derniĂšre sĂ©ance avec Michael. Abigail Mathers — peut ĂȘtre tuĂ©e aprĂšs avoir accompli sa mission d’Inconnus et dĂ©traquĂ©s. L’homme qui suivait Tracey — peut ĂȘtre tuĂ© lorsque Tracey dit avoir Ă©tĂ© suivie par un homme. Trevor Philips — peut ĂȘtre tuĂ© Ă  la fin du jeu, si l’option A est choisie et si Franklin choisit de ne pas tirer sur Trevor. Galerie Michael pilotant un Hydra. Anecdotes Ses stations de radio prĂ©fĂ©rĂ©es sont Los Santos Rock Radio, Vinewood Boulevard Radio et Radio Mirror Park. ÂgĂ© d’une quarantaine d’annĂ©es, il est le plus vieux protagoniste de la sĂ©rie Grand Theft Auto. La capacitĂ© spĂ©ciale de Michael pourrait ĂȘtre une rĂ©fĂ©rence Ă  Max Payne, une autre licence de Rockstar Games oĂč le personnage principal, l’éponyme Max Payne, possĂšde le Bullet Time, une compĂ©tence qui lui permet de ralentir le temps. Par ailleurs, Michael a le mĂȘme costume gris que Max dans Max Payne 3 et comme lui, il assiste au siĂšge de sa maison par des mercenaires, mettant leurs familles en danger lors de la mission PĂ©tage de plomb » pour Michael, et lors de l’introduction du premier Max Payne pour Max. Sa capacitĂ© spĂ©ciale pourrait aussi ĂȘtre une rĂ©fĂ©rence au Dead Eye de la sĂ©rie Red Dead encore une autre licence de Rockstar ou aux pilules d’adrĂ©naline de l’univers 3D dont les effets sont similaires au Bullet Time. Le nouveau nom de Michael, De Santa, pourrait ĂȘtre une rĂ©fĂ©rence Ă  Red Dead Redemption dans lequel l’un des antagonistes Ă©tait le capitaine Vincente de Santa de l’armĂ©e mexicaine. Pendant le jeu, Michael semble Ă©prouver du mĂ©pris pour les professeurs de yoga. Ironie du sort, l’épouse de son interprĂšte rĂ©el Ned Luke est professeur de yoga. Michael Townley a Ă©tĂ© une vraie personne protĂ©gĂ©e en tant que tĂ©moin. Il Ă©tait un ancien agent de la Central Intelligence Agency impliquĂ© dans l’assassinat d’Orlander Letelier, un ambassadeur chilien en 1976. Michael peut obtenir un certain nombre de tatouages ​​qui sont Ă  thĂšme irlandais, laissant supposer une origine irlandaise. MĂȘme le nom Townley a une consonance celtique. Les yeux verts et le penchant pour le whisky de Michael sont autant des traits clichĂ©s des Irlandais. Michael a plus d’apparitions dans les missions sans compter les missions annexes que les deux autres protagonistes, il apparaĂźt dans trente-huit des soixante-neuf missions contre trente-deux apparitions pour Franklin et trente-et-une pour Trevor. Michael marche lĂ©gĂšrement plus lentement que Franklin ou Trevor, cela pourrait ĂȘtre dĂ» au fait qu’il est a la retraite et pas aussi actif qu’il avait l’habitude de l’ĂȘtre. Son interprĂšte Ned Luke s’est mĂȘme attachĂ© des poids de vingt-cinq livres un peu plus d’onze kilogrammes pour mieux rendre ses mouvements lors des motion captures. La couleur affiliĂ©e Ă  Michael par exemple quand il fait appel Ă  sa capacitĂ© spĂ©ciale est le bleu. C’est en rĂ©alitĂ© la couleur prĂ©fĂ©rĂ©e de Ned Luke, l’interprĂšte de Michael. Cela pourrait aussi ĂȘtre un reflet de la personnalitĂ© du personnage, le bleu Ă©tant la couleur de la maĂźtrise et des Ă©motions nĂ©gatives, reflĂ©tant les luttes de Michael avec la gestion de ses tendances psychotiques et son dĂ©sir d’apaiser son existence. Le vert pour Franklin reprĂ©sente quant Ă  lui l’apprentissage et la richesse, l’orange de Trevor l’instabilitĂ© et l’anticonformisme. Michael ressemble beaucoup Ă  Tony Soprano de la sĂ©rie Les Soprano il aime fumer des cigares, il voit un psychologue, ils a un fils et une fille avec qui il se dispute frĂ©quemment, il entretient des relations tendues avec son Ă©pouse, et il aime les films classiques d’Hollywood. AprĂšs la premiĂšre bande-annonce de GTA V, certains ont supposĂ© que Michael Ă©tait en fait Tommy Vercetti introduit dans l’univers 3D mais cela fut dĂ©menti. Ned Luke en plaisanta mĂȘme Ă  la prĂ©sentation de GTA V lors du Comic Con'. Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ 1,0 et 1,1 L'annĂ©e de naissance de Michael Townley est inscrite sur le tatouage Michael » portĂ© par Trevor Philips dans Grand Theft Auto V. La sĂ©rie Grand Theft Auto Jeux GTA GTA 1 London 1969 London 1961 GTA 2 GTA III Vice City Advance San Andreas Liberty City Stories Vice City Stories GTA IV The Lost and Damned Chinatown Wars The Ballad of Gay Tony Episodes from Liberty City GTA V GTA Online Lieux Liberty City Alderney Vice City San Andreas Los Santos, San Fierro, Las Venturas Londres Anywhere City HĂ©ros Claude Speed Claude GTA III Tommy Vercetti Mike Carl Johnson Toni Cipriani Victor Vance Niko Bellic Johnny Klebitz Huang Lee Luis Fernando Lopez Michael De Santa, Franklin Clinton et Trevor Philips Protagoniste de GTA Online Missions GTA 1 GTA 2 GTA III Vice City Advance San Andreas Liberty City Stories Vice City Stories GTA IV The Lost and Damned Chinatown Wars The Ballad of Gay Tony GTA V GTA Online Personnages GTA 1 London GTA 2 GTA III Vice City Advance San Andreas Liberty City Stories Vice City Stories GTA IV The Lost and Damned Chinatown Wars The Ballad of Gay Tony GTA V GTA Online Personnages rĂ©els VĂ©hicules GTA 1 London GTA 2 GTA III Vice City Advance San Andreas Liberty City Stories Vice City Stories GTA IV The Lost and Damned Chinatown Wars The Ballad of Gay Tony GTA V et GTA Online Marques automobiles Armes GTA 1 GTA 2 London GTA III Vice City Advance San Andreas Liberty City Stories Vice City Stories GTA IV The Lost and Damned Chinatown Wars The Ballad of Gay Tony GTA V Stations de radio GTA 1 London GTA 2 GTA III Vice City San Andreas Liberty City Stories Vice City Stories GTA IV Chinatown Wars Episodes from Liberty City GTA V et GTA Online Codes GTA 1 GTA 2 GTA III Vice City Advance San Andreas Liberty City Stories Vice City Stories GTA IV Chinatown Wars GTA V Connexes Modifications Chronologie Collections Artworks Sauts RodĂ©os/Kill Frenzies Multijoueur MTA, VC-MJ, SA-MJ GTA-like Easter Eggs Indice de recherche Police Gangs Planques PropriĂ©tĂ©s Traductions

synonymes- ATTAQUE_DE_BANQUE_A_MAIN_ARMEE signaler un problÚme. attaque de banque à main armée (n.). attaque de banque
©archives Au matin du 18 novembre, un vol Ă  main armĂ©e a Ă©tĂ© perpĂ©trĂ© Ă  la Banque Nationale du chemin Gascon Ă  Terrebonne. À 10 h 25 le 18 novembre, les policiers de Terrebonne ont reçu un appel de la Banque Nationale situĂ©e au 2135, chemin Gascon Ă  Terrebonne signalant un vol Ă  main armĂ©e. Le suspect est entrĂ©, a montrĂ© ce qui semblait ĂȘtre une arme Ă  feu Ă  sa taille et il a demandĂ© le contenu de la caisse. Il n’a jamais pointĂ© son arme, toutefois », de prĂ©ciser le capitaine JoĂ«l Lamarche, du Service de police intermunicipal de Terrebonne/Sainte-Anne-des-Plaine/Bois-des-Filion. Selon les gens qui Ă©taient dans la banque, le suspect serait sorti par l’arriĂšre du bĂątiment. Un pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ© a Ă©tĂ© dressĂ©. Heureusement, personne n’a Ă©tĂ© blessĂ© lors de l’évĂ©nement », rapporte le capitaine. À l’heure actuelle, les policiers recherchent d’autres tĂ©moins. Les techniciens en identitĂ© judiciaire vont Ă©galement Ă©tudier attentivement les camĂ©ras vidĂ©o. Au moment d’écrire ces lignes, on ne connaissait pas encore le montant dĂ©robĂ©. Les deux annĂ©es de pandĂ©mie ont-elles eu un impact sur votre consommation d’alcool ou de drogue?

MichaelDe Santa, nĂ© Michael Townley, est l’un des trois protagonistes dans Grand Theft Auto V. Michael Townley naĂźt en 1965 aux États-Unis, dans le Midwest. Dans son enfance, il ne connaĂźt pas la mĂȘme situation que celle de ses futurs enfants : son pĂšre est un alcoolique notoire qui le bat rĂ©guliĂšrement. Il vit dans des environnements misĂ©rables Ă  cause de la situation financiĂšre

TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Vous avez envie d'aventure et vous souhaitez vivre une vie hors du commun. Si vous avez la nationalitĂ© française, vous pouvez devenir agent ou officier de la DGSE direction gĂ©nĂ©rale de la sĂ©curitĂ© extĂ©rieure en fonction de vos aptitudes et de votre profil. Si vous ĂȘtes militaire, vous pouvez demander votre affectation Ă  la DGSE et si vous ĂȘtes civil, vous pouvez passer un concours d'entrĂ©e ou postuler spontanĂ©ment. Il existe de nombreux postes au sein de la DGSE, en Ă©tant militaire, vous pouvez participer Ă  des opĂ©rations sur le terrain et si vous ĂȘtes civil, vous pouvez travailler comme agent de surveillance, linguiste, ingĂ©nieur, analyste ou ĂȘtre stagiaire. Vous ne pourrez par contre pas raconter vos aventures Ă  vos amis ni aux membres de votre famille. 1Comment fonctionne la DGSE ? La DGSE [1] est principalement un organisme de recherche appliquĂ©e au domaine politique et de la sĂ©curitĂ© extĂ©rieure. Elle enrichit un dĂ©bat qui s'alimente des analyses stratĂ©giques, diplomatiques, etc. La DGSE a une vision objective des faits qui lui sont livrĂ©s de diffĂ©rentes façons. L'analyse est moins importante que la fraicheur d'un renseignement non interprĂ©tĂ©, mais, quelle que soit la question posĂ©e aux hommes de la piscine » le siĂšge de la DGSE Ă  Paris, la rĂ©ponse doit absolument ĂȘtre trouvĂ©e et hors du territoire. Les difficultĂ©s qui peuvent s'opposer Ă  l'obtention d'un renseignement rĂ©sident dans l'Ă©quilibre difficultĂ©-risque-intĂ©rĂȘt ». Il peut y avoir des difficultĂ©s pour parvenir au but en fonction des moyens Ă  mettre en Ɠuvre, il peut y avoir des risques pour les agents et des risques diplomatiques et il faut considĂ©rer l'intĂ©rĂȘt pour l'État. C'est l'État qui dĂ©cide de l'effort qu'il est prĂȘt Ă  fournir. L'obtention et la validation d'un renseignement se font en plusieurs Ă©tapes, recherche humaine, recherche technique, recherche opĂ©rationnelle et renseignement obtenu grĂące Ă  la coopĂ©ration d'un service Ă©tranger. Le traitement du renseignement s'effectue ensuite Ă  Paris. 2Les deux dĂ©fis majeurs de la DGSE. Les deux dĂ©fis majeurs de la DGSE en matiĂšre de dĂ©fense et de sĂ©curitĂ© sont la lutte contre le terrorisme et la lutte contre la prolifĂ©ration des armes de destruction massive. La prolifĂ©ration des armes de destruction massive et le terrorisme ne sont pas uniquement des menaces contre la France, ce sont Ă©galement des gĂ©nĂ©rateurs de crises internationales et d'instabilitĂ©s rĂ©gionales. La DGSE doit adapter son dispositif en permanence Ă  cause de la diversification des modes opĂ©ratoires employĂ©s par les terroristes ainsi que l'ampleur de leurs actions. La lutte contre la prolifĂ©ration des armes de destruction massive implique un suivi rigoureux des États qui se dĂ©veloppent et des pays oĂč il y a des individus qui peuvent leur fournir le savoir-faire, les technologies et les financements nĂ©cessaires. La DGSE doit donc dĂ©velopper ses capacitĂ©s d'anticipation, d'adaptation et de rĂ©action. Elle assure des missions de recueil de renseignements puis analyse et Ă©value les menaces avant d'entamer des actions d'entrave avec des coopĂ©rations nationales ou internationales. 3La lutte contre le terrorisme. La lutte contre le terrorisme est une anticipation qui vise Ă  dĂ©tecter, Ă©valuer puis neutraliser les menaces pesant sur la sĂ©curitĂ© nationale. Cette lutte passe par un travail de recueil et d'exploitation du renseignement trĂšs important pour dĂ©tecter et identifier les acteurs de la menace, comprendre leurs stratĂ©gies, localiser leurs structures et dĂ©terminer leurs objectifs. L'action de la DGSE est coordonnĂ©e avec d'autres services nationaux impliquĂ©s dans cette problĂ©matique et elle est inscrite dans des Ă©changes permanents avec des partenaires Ă©trangers. Cette lutte peut dĂ©boucher sur l'interpellation d'individus dont il a Ă©tĂ© prouvĂ© qu'ils sont impliquĂ©s dans des activitĂ©s Ă  caractĂšre terroriste. 4 La lutte contre la prolifĂ©ration. La prolifĂ©ration dĂ©signe la propagation des armes balistiques, nuclĂ©aires, biologiques et chimiques sur notre planĂšte. La prolifĂ©ration a une dimension Ă  la fois stratĂ©gique, politique et Ă©conomique. C'est un phĂ©nomĂšne contagieux, car si un État acquiert une capacitĂ© de destruction massive, ses ennemis politiques ou stratĂ©giques ainsi que ses voisins peuvent ĂȘtre tentĂ©s d'entamer Ă©galement une dĂ©marche de prolifĂ©ration. Cet enchainement peut remettre en cause la sĂ©curitĂ© collective et menacer les intĂ©rĂȘts de la France. Dans ce domaine, la cible de la DGSE peut aussi bien ĂȘtre un État prolifĂ©rateur qui transmet la technologie qu'un État prolifĂ©rant qui souhaite acquĂ©rir la technologie. Les rĂ©seaux d'acquisition font aussi l'objet d'un suivi attentif. La conjonction potentielle entre les armes de destruction massive et le terrorisme reprĂ©sente une grande menace contre la sĂ©curitĂ© de la France et de ses alliĂ©s. Dans ce cas, le recueil de renseignements et l'action d'entrave ont besoin d'une capacitĂ© de rĂ©action trĂšs rapide. À la DGSE, on prĂ©fĂšre travailler en combinant les moyens permettant d'obtenir, de recouper et de valider le renseignement. Les quatre canaux mentionnĂ©s un peu plus haut se complĂštent, se croisent et se vĂ©rifient comme les piĂšces d'un puzzle pour produire un renseignement utile. Les trois premiers canaux sont privilĂ©giĂ©s parce qu'ils permettent de conserver une autonomie nationale et de dĂ©terminer le niveau de coopĂ©ration qui peut ĂȘtre engagĂ© par la DGSE [2] . La recherche humaine consiste Ă  contacter une personne ayant accĂšs au renseignement. C'est bien sĂ»r plus complexe qu'un simple Ă©change question-rĂ©ponse ». Recruter une source est un travail lent, rĂ©pĂ©titif et particuliĂšrement subtil. L'officier traitant OT doit faire preuve d'une grande finesse psychologique dans son approche et l'aboutissement de cette dĂ©marche est le recrutement d'un agent ou d'un informateur. Il faut auparavant dĂ©terminer quelle est la meilleure source potentielle. L'officier traitant est guidĂ© dans son travail par un officier de recherche et un analyste spĂ©cialisĂ© dans le secteur thĂ©matique ou gĂ©ographique qui se trouvent Ă  Paris Ă  la Centrale. L'analyste dĂ©termine la structure utile Ă  laquelle l'agent secret en poste dans le pays Ă©tranger va s'intĂ©resser. Une Ă©tude d'environnement apportera ensuite des informations supplĂ©mentaires Ă  l'officier traitant pour qu'il rĂ©alise son approche. La recherche humaine est relativement Ă©conomique, mais elle expose l'officier traitant aux services de contrespionnage adverses et elle dĂ©pend de la fiabilitĂ© de la source. Le risque est important et il s'agit d'amener une personne Ă  coopĂ©rer avec la DGSE en transgressant une limite. La recherche opĂ©rationnelle ne s'attache pas Ă  obtenir un renseignement provenant d'un ĂȘtre humain. Elle consiste Ă  piĂ©ger un systĂšme de communication ou Ă  rĂ©cupĂ©rer un document. Elle oblige l'intervention de spĂ©cialistes de l'action, habituĂ©s Ă  la discrĂ©tion et aux technologies impliquĂ©es. La recherche opĂ©rationnelle doit rĂ©cupĂ©rer un renseignement sans que son dĂ©tenteur s'en rende compte. Ce type de recherche est comme le renseignement humain Ă©conomique et a l'avantage de ne pas prĂ©senter de problĂšme de fiabilitĂ©. La principale caractĂ©ristique de cette recherche rĂ©side dans le caractĂšre brut du renseignement, mais si l'opĂ©ration est dĂ©couverte le risque est important. Le renseignement par moyens techniques est le plus lourd en matiĂšre d'investissement. Cette technique est maitrisĂ©e par quelques pays, dont la France. La tĂ©lĂ©phonie mobile et les faisceaux satellites sont des signaux Ă©lectromagnĂ©tiques invisibles circulant dans l'espace, mais ils peuvent ĂȘtre interceptĂ©s. Rassurez-vous, l'internet et les communications tĂ©lĂ©phoniques de monsieur tout le monde » n'intĂ©ressent pas la DGSE et les interceptions sont faites dans le cadre de la loi [3] . L'implantation des antennes se fait sans publicitĂ©, mais elle est visible de tous. Les satellites HĂ©lios donnent Ă  la DGSE une capacitĂ© d'observation depuis l'espace, ce qui est particuliĂšrement utile dans la lutte contre la prolifĂ©ration. L'ensemble de ces moyens recouvre des savoir-faire de trĂšs haute technicitĂ© traitement du signal, cryptologie, etc.. Ce type de renseignement est fiable, il ne prĂ©sente pas de risque et il peut ĂȘtre constamment sollicitĂ©, mais son cout est trĂšs Ă©levĂ©. La recherche humaine, la recherche technique et la recherche opĂ©rationnelle doivent ensuite ĂȘtre orchestrĂ©es. La personne qui s'en occupe est un analyste. Son travail consiste Ă  synthĂ©tiser, recouper et affiner le renseignement afin de rĂ©orienter chaque Ă©lĂ©ment capteur. La qualitĂ© qui doit avant tout ĂȘtre prĂ©servĂ©e est l'objectivitĂ©. Le renseignement est finalement fourni aux autoritĂ©s. Pour choisir une source, la DGSE favorise la dimension technique des contacts et l'objectif de l'analyste spĂ©cialisĂ© en contreterrorisme est de rechercher une possible menace. Comment un groupe est-il composĂ©, quels sont ses rapports avec le pouvoir en place, sur quoi s'appuie-t-il ? Les liens et les connexions sont espionnĂ©s. L'analyste travaille en synergie avec l'officier postĂ© Ă  l'Ă©tranger, ils ont un dialogue permanent et rĂ©gulier. L'analyste exprime ses besoins et chaque dĂ©partement spĂ©cialisĂ© est responsable de son travail. L'analyste ne se contente pas de tĂ©lĂ©commander les actions depuis Paris, il va souvent sur le terrain clandestinement afin d'Ă©valuer la situation. L'analyste n'est pas un expert du sujet qu'il traite, cette absence de prĂ©jugĂ© le favorise d'ailleurs dans son travail. Il a un profil de haut niveau et une personnalitĂ© adaptĂ©e aux contraintes de son travail. L'information est finalement transmise aux destinataires par le biais de la direction de la stratĂ©gie de la DGSE. Toutes les indications pouvant rĂ©vĂ©ler l'origine ou la nature du renseignement sont effacĂ©es, cette dĂ©marcation permet en effet de prĂ©server les sources et les officiers traitants. Les dĂ©cideurs politiques peuvent demander des informations gĂ©nĂ©rales, contextuelles ou trĂšs prĂ©cises. 1Avez-vous le profil recherchĂ© [4] ? Aujourd'hui en 2014, la DGSE recherche diffĂ©rents types de profils et offre des postes Ă  des civils Ă©tant performants dans leur spĂ©cialitĂ©. À ce jour, la DGSE recherche par exemple des ingĂ©nieurs, des linguistes et des stagiaires. Si vous ĂȘtes militaire, vous pourrez certainement vous retrouver au cƓur de l'action aprĂšs avoir demandĂ© votre affectation. Dans tous les cas, votre passĂ© sera examinĂ© attentivement ainsi que votre mode de vie, vos habitudes, vos centres d'intĂ©rĂȘt, etc. 2Les stagiaires. La DGSE accueille principalement des Ă©lĂšves ingĂ©nieurs en derniĂšre annĂ©e de formation ainsi que des universitaires en Master 2 afin qu'ils effectuent leur stage diplĂŽmant au sein de la direction technique. Chaque annĂ©e, la DGSE accueille une soixantaine de stagiaires dont environ la moitiĂ© est recrutĂ©e pour exercer un mĂ©tier d'ingĂ©nieur au sein de la DGSE. Les stages relĂšvent de diffĂ©rents domaines Ă©lectronique, tĂ©lĂ©communications, cryptologie, informatique, traitement du signal, etc. 3Les linguistes. La DGSE a besoin de linguistes pour pourvoir des emplois d'exploitants-linguistes et de traducteurs. Ces deux emplois ne demandent pas le mĂȘme niveau de connaissance, mais dans les deux cas vous devrez passer des tests de langues. Les traducteurs doivent maitriser parfaitement leur langue de travail alors que les exploitants peuvent avoir un niveau moindre. Une bonne maitrise de la langue française est Ă©videmment indispensable. Les langues recherchĂ©es sont principalement celles des zones de l'arc de crise. 4 Les ingĂ©nieurs. De nos jours, les outils informatiques et de tĂ©lĂ©communications ont une place trĂšs importante dans le monde du renseignement. La DGSE s'appuie sur un systĂšme d'information agile, efficace et adaptĂ© aux conditions peu habituelles d'utilisation, de sĂ©curitĂ© et de fonctionnement. Elle a besoin en permanence de techniciens et d'ingĂ©nieurs de talent ayant un grand appĂ©tit d'apprendre et maitrisant les technologies ou les techniques du moment. La DGSE recherche particuliĂšrement des ingĂ©nieurs de base de donnĂ©es des chefs de projet en informatique et en tĂ©lĂ©communications des ingĂ©nieurs de cƓur de rĂ©seau des ingĂ©nieurs d'Ă©tudes et de dĂ©veloppements applicatifs en tĂ©lĂ©communications et en informatique des ingĂ©nieurs en sĂ©curitĂ© informatique des assistants Ă  maitrise d'ouvrage et des consultants en informatique des analystes-programmeurs des cryptomathĂ©maticiens des techniciens en tĂ©lĂ©communications, des spĂ©cialistes du signal et en systĂšmes d'information des analystes-rĂ©dacteurs domaine balistique, gĂ©opolitique, biens Ă©nergĂ©tiques, circuits financiers, etc. des personnes spĂ©cialisĂ©es dans le soutien technique des agents de surveillance 5 Le recrutement contractuel. La DGSE a besoin de spĂ©cialistes dans diffĂ©rents domaines de façon ponctuelle. Vous avez tout d'abord un CDD contrat Ă  durĂ©e dĂ©terminĂ©e d'un Ă  trois ans renouvelable en fonction du besoin. Au-delĂ  de six ans, vous pouvez obtenir un CDI contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Pour ĂȘtre recrutĂ©, vous devez passer diffĂ©rents tests psychotechniques, des entretiens et suivre les procĂ©dures d'habilitation. Aujourd'hui en 2014, la DGSE recherche des spĂ©cialistes en langues Ă©trangĂšres en soutien en ingĂ©nierie en exploitation du renseignement 6Les dĂ©tachements. La DGSE comme d'autres administrations a besoin de fonctionnaires souhaitant Ă©voluer dans leur carriĂšre. Les candidatures doivent correspondre aux besoins et aux emplois Ă  pourvoir. Avant d'ĂȘtre acceptĂ©, vous devez passer des tests psychotechniques et diffĂ©rents entretiens avant de suivre une procĂ©dure d'habilitation. 7 L'affectation militaire. Un quart du personnel de la DGSE est constituĂ© de militaires issus de l'armĂ©e de l'air l'armĂ©e de terre la marine nationale la gendarmerie nationale du SID service d'infrastructure de la dĂ©fense du SCA service du commissariat des armĂ©es la DGA direction gĂ©nĂ©rale de l'armement du service de santĂ© des armĂ©es 8Que vous soyez sous-officier, officier ou militaire du rang, pour ĂȘtre affectĂ© Ă  la DGSE vous devez ĂȘtre volontaire et rĂ©pondre aux critĂšres de mutabilitĂ© dĂ©finis par la direction du personnel. Vous devez Ă©galement ĂȘtre habilitĂ© et vous devez satisfaire des tests psychotechniques et des entretiens avec un psychologue. Des sĂ©ances d'information Ă  destination des officiers sont organisĂ©es chaque annĂ©e par la DGSE ainsi que des prĂ©sentations dans les Ă©coles de sous-officiers. Des messages de prospection sont Ă©galement envoyĂ©s dans les universitĂ©s au cours du second trimestre par la direction du personnel. 9 Les rĂ©servistes. Vous pouvez demander un transfert Ă  la DGSE en Ă©tant rĂ©serviste dans... L'armĂ©e de terre. L'armĂ©e de terre est composĂ©e de plus de 15 000 rĂ©servistes, vous pouvez y ĂȘtre affectĂ© au titre de complĂ©ment individuel notamment en Ă©tat-major ou au sein d'unitĂ©s de rĂ©serves organiques. Vous faites partie d'un volant de gestion pour la rĂ©serve opĂ©rationnelle dont le format reste Ă  l'initiative du commandement en fonction des intĂ©rĂȘts mutuels recherchĂ©s. L'armĂ©e de l'air. Elle se divise en trois catĂ©gories. La rĂ©serve militaire. Vous participez aux missions de l'armĂ©e de l'air et faites face dans les mĂȘmes conditions que les militaires de carriĂšre. La rĂ©serve opĂ©rationnelle. Issu d'une carriĂšre militaire, vous ĂȘtes orientĂ© vers la mise en Ɠuvre des matĂ©riels de l'armĂ©e de l'air. La rĂ©serve citoyenne. Vous mettez en Ɠuvre les moyens d'information visant Ă  expliciter le rĂŽle et les missions de l'armĂ©e de l'air afin d'en assurer la promotion et le rayonnement. La marine nationale. Les rĂ©servistes opĂ©rationnels ont pour mission de renforcer les capacitĂ©s militaires de la marine sur des missions importantes et nĂ©cessitant un savoir technique spĂ©cialisĂ©. Vous assurez Ă©galement la relĂšve sur le territoire national ou sur les théùtres extĂ©rieurs. Les rĂ©servistes citoyens ont pour mission d'assurer le rayonnement et l'entretien de l'esprit de dĂ©fense et de renforcer le lien entre l'armĂ©e et la Nation. La gendarmerie nationale. En Ă©tant rĂ©serviste de la gendarmerie nationale, vous contribuez Ă  la suretĂ© publique en garantissant la protection des personnes et des biens, en alertant, en renseignant et en portant secours. Le service de santĂ© des armĂ©es. Le SSA est ouvert Ă  tous les Français et Françaises volontaires. Vous devez ĂȘtre reconnu mĂ©dicalement apte au service par un mĂ©decin militaire, ĂȘtre ĂągĂ© de moins de 65 ans et exercer une profession de santĂ© ou dans un domaine associĂ© Ă  la santĂ©. La rĂ©serve citoyenne cyberdĂ©fense. Le rĂ©seau de rĂ©serve citoyenne cyberdĂ©fense a Ă©tĂ© créé en 2012. Il vise Ă  expliquer, dĂ©battre, sensibiliser, organiser et susciter des Ă©vĂšnements contribuant Ă  faire de la cyberdĂ©fense une prioritĂ© nationale. 10Les concours. Les fonctionnaires civils sont principalement recrutĂ©s par concours dans les trois catĂ©gories de la fonction publique A, B et C. Ces concours sont ouverts aux candidats de nationalitĂ© française qui jouissent de leurs droits civiques, dont les mentions portĂ©es sur le bulletin n° 2 du casier judiciaire ne sont pas incompatibles avec l'exercice de leur fonction, qui remplissent les conditions d'aptitude physique exigĂ©es, qui sont en position rĂ©guliĂšre au regard du Code du service national les jeunes ĂągĂ©s de 18 Ă  25 ans doivent fournir un certificat de participation Ă  la JAPD journĂ©e d'appel de prĂ©paration Ă  la dĂ©fense ou une attestation individuelle d'exemption lors d'une inscription Ă  un concours de la fonction publique. Aucune justification n'est demandĂ©e pour les femmes nĂ©es avant le 1er janvier 1983. 11 La catĂ©gorie A. Pour la catĂ©gorie A, il existe deux corps spĂ©cifiques de fonctionnaires civils rattachĂ©s Ă  la DGSE. Le corps des attachĂ©s. Les attachĂ©s sont chargĂ©s des fonctions de conception, d'expertise, de gestion et de pilotage d'unitĂ©s administratives et spĂ©cialisĂ©es. Vous participez Ă  l'ensemble des missions entrant dans les attributions de la DGSE. Vous devez disposer d'un diplĂŽme classĂ© au moins au niveau 2, d'une licence ou d'une qualification reconnue comme Ă©quivalant Ă  l'un de ces titres ou diplĂŽmes. Le corps des inspecteurs. Les inspecteurs sont chargĂ©s dans le domaine technique de fonctions d'Ă©tudes et de recherche, de conception, d'organisation, d'expertise et de commandement de structures. Vous participez Ă  l'ensemble des missions techniques entrant dans les attributions de la DGSE. Pour faire partie de ce corps, vous devez ĂȘtre titulaire d'un diplĂŽme classĂ© au moins au niveau 2 ou d'une licence dans une spĂ©cialitĂ© technique ou scientifique ou bien d'une qualification reconnue comme Ă©quivalant Ă  l'un de ces diplĂŽmes ou titres. 12 La catĂ©gorie B. Il existe deux corps spĂ©cifiques de catĂ©gorie B. Le corps des secrĂ©taires administratifs spĂ©cialisĂ©. Vous ĂȘtes chargĂ© de fonctions administratives d'application. Vous participez Ă  la mise en Ɠuvre de textes de portĂ©e gĂ©nĂ©rale et vous assistez les fonctionnaires de la catĂ©gorie A ou de niveau Ă©quivalent dans la recherche, l'analyse et l'exploitation du renseignement et dans le domaine de la linguistique. Vous exercez des tĂąches administratives de gestion dans les domaines des ressources humaines, dans le secteur juridique, financier, logistique ou comptable. Vous pouvez vous voir confier des tĂąches de rĂ©daction et ĂȘtre chargĂ© de l'animation d'une Ă©quipe. Vous pouvez Ă©galement assurer des fonctions d'assistant de direction. Vous devez ĂȘtre titulaire d'un diplĂŽme ou d'un titre classĂ© au moins au niveau 4 ou d'un baccalaurĂ©at. Pour ĂȘtre secrĂ©taire administratif spĂ©cialisĂ© de classe supĂ©rieure, vous devez ĂȘtre titulaire d'un titre ou d'un diplĂŽme sanctionnant deux annĂ©es de formation classĂ©e au moins au niveau 3 ou d'une qualification reconnue comme Ă©quivalant Ă  l'un de ces titres ou diplĂŽmes. Le corps des contrĂŽleurs spĂ©cialisĂ©s. Dans le corps des contrĂŽleurs spĂ©cialisĂ©s, vous ĂȘtes chargĂ© de fonctions d'application, de contrĂŽle, de surveillance, de conduite de travaux ou d'Ă©tudes dans des domaines techniques ou scientifiques ou dans la recherche de renseignements d'ordre technique. Vous pouvez Ă©galement ĂȘtre chargĂ© de l'animation d'une Ă©quipe. Vous devez ĂȘtre titulaire d'un baccalaurĂ©at ou d'un titre ou diplĂŽme classĂ© au moins au niveau 4 ou d'une qualification Ă©quivalant Ă  l'un de ces titres ou diplĂŽmes. Pour ĂȘtre secrĂ©taire administratif spĂ©cialisĂ© supĂ©rieur, vous devez ĂȘtre titulaire d'un diplĂŽme ou d'un titre sanctionnant deux annĂ©es de formation classĂ©e au moins au niveau 3 ou d'une qualification reconnue comme Ă©quivalant Ă  l'un de ces titres ou diplĂŽmes. 13 La catĂ©gorie C. Comme pour les catĂ©gories A et B, le recrutement dĂ©pend du niveau de formation des candidats. Il existe trois corps spĂ©cifiques de catĂ©gorie C. Le corps des surveillants. En faisant partie du corps des surveillants, vous assurez sous l'autoritĂ© des chefs de service intĂ©rieur la protection de la direction et vous participez Ă  toutes les missions de sĂ©curitĂ© ordonnĂ©es par le directeur gĂ©nĂ©ral concernant les biens et les personnes. Pour vous prĂ©senter Ă  ce concours, vous devez ĂȘtre ĂągĂ© de 21 ans au moins et de 40 ans au plus au 1er janvier de l'annĂ©e du concours. Vous devez ĂȘtre reconnu apte Ă  l'emploi correspondant aprĂšs avoir passĂ© un examen mĂ©dical prĂ©alable aux Ă©preuves d'admission chez un mĂ©decin agréé par l'administration. Aucun diplĂŽme n'est nĂ©cessaire pour s'inscrire au concours de surveillant, mais vous devez rĂ©unir les conditions nĂ©cessaires Ă  l'octroi d'une autorisation de port d'arme. Le corps des agents techniques. Pour faire partie du corps des agents techniques, vous devez ĂȘtre titulaire d'un diplĂŽme ou d'un titre de niveau 5 ou d'une qualification reconnue comme Ă©quivalant Ă  l'un de ces diplĂŽmes ou titres. Si vous ĂȘtes titulaire du permis appropriĂ©, vous pouvez assurer la conduite de motos, de vĂ©hicules de tourisme ou d'utilitaires lĂ©gers, de poids lourds et de vĂ©hicules de transports en commun. Vous ĂȘtes chargĂ© de l'exĂ©cution de travaux ouvriers ou techniques nĂ©cessitant une qualification professionnelle. Le corps des adjoints administratifs. Vous pouvez ĂȘtre chargĂ© des fonctions d'accueil et de secrĂ©tariat ou exercer des fonctions nĂ©cessitant une bonne connaissance des rĂšglements administratifs et de leur application. Aucun diplĂŽme n'est requis pour s'inscrire au concours d'adjoint administratif. 14Le correspondant dĂ©fense [5] . En tant qu'Ă©lu local, le correspondant dĂ©fense peut mener des actions de proximitĂ© efficaces. Un nouvel Ă©lan est donnĂ© Ă  la mission d'information et d'animation des dĂ©lĂ©guĂ©s militaires dĂ©partementaux DMD qui sont les points uniques de contacts des correspondants dĂ©fense au niveau local. L'instruction relative aux correspondants dĂ©fense a Ă©tĂ© rĂ©actualisĂ©e pour rĂ©affirmer et clarifier les missions des correspondants dĂ©fense ainsi que le rĂŽle de chacun des acteurs du dispositif. Pour mener Ă  bien leur mission, les correspondants dĂ©fense doivent pouvoir accĂ©der Ă  une information rĂ©guliĂšre et actualisĂ©e sur les questions de dĂ©fense. 15Vous ĂȘtes jeune. Vous ĂȘtes jeune, intĂ©ressĂ© pour entrer Ă  la DGSE, mais vous ne savez pas comment vous y prendre. Il existe des formations Ă  la dĂ©fense dans l'enseignement supĂ©rieur, des lycĂ©es de la dĂ©fense, un service militaire adaptĂ©, etc. Pour vous renseigner et vous aider Ă  faire un choix, allez sur le site educadef » 1 Postulez ! Si vous ĂȘtes militaire, faites une demande d'affectation. Si vous ĂȘtes fonctionnaire, demandez votre dĂ©tachement quelle que soit votre administration d'origine. Si vous ĂȘtes civil, portez-vous candidat pour un recrutement contractuel ou accĂ©dez Ă  l'un des corps spĂ©cifiques de fonctionnaires par concours. Vous pouvez Ă©galement envoyer une lettre de motivation et un au ministĂšre de la DĂ©fense - N° 196/E - 14 rue Saint-Dominique - 75700 Paris SP 07 ministĂšre de la DĂ©fense - BP 40 - 75960 Paris 20 PDC 2PrĂ©parez-vous. Pour travailler Ă  la DGSE mĂȘme dans un bureau, vous devez ĂȘtre en bonne condition physique et vous devez passer diffĂ©rents tests permettant de dĂ©terminer si vous prĂ©sentez des vulnĂ©rabilitĂ©s sur le plan de la sĂ©curitĂ©. 3Ne prenez pas de drogues. Si vous souhaitez travailler au sein d'un organisme de renseignement, vous ne devez pas prendre de drogues. Ceci n'est pas vraiment liĂ© Ă  votre santĂ© physique, mais Ă  votre santĂ© morale. Un agent de renseignement prenant de la drogue est trĂšs vulnĂ©rable, car il peut ĂȘtre dĂ©pendant et ses critĂšres de jugement ainsi que ses rĂ©actions seront affectĂ©s. Il met en danger sa vie et celle d'autres agents. Il en va de mĂȘme pour l'alcool. Un agent alcoolique est trĂšs vulnĂ©rable et dangereux pour le service auquel il appartient. Vous devez impĂ©rativement avoir une vie saine. 4Soyez discret. Si vous dĂ©sirez entrer Ă  la DGSE, n'en parlez pas Ă  tous vos amis, Ă  votre petite amie ou Ă  votre femme ni aux membres de votre famille. Ils pourraient le rĂ©pĂ©ter et des agents ennemis » pourraient chercher Ă  les utiliser ou Ă  les torturer pour obtenir des informations. Vous devez donc faire preuve d'une discrĂ©tion absolue. Vous pouvez raconter que vous ĂȘtes militaire ou fonctionnaire de l'État, mais rien de plus. 5Soyez disponible. Vos horaires de travail peuvent ĂȘtre trĂšs diffĂ©rents de ceux du commun des mortels. Vous devrez parfois spĂ©cialement si une situation de crise se prĂ©sente travailler de nombreuses heures, de jour comme de nuit. Vous pourrez Ă©galement ĂȘtre mutĂ© trĂšs loin de votre lieu de rĂ©sidence actuel et devrez parfois selon votre poste ĂȘtre envoyĂ© Ă  l'Ă©tranger. Si vous ĂȘtes militaire, vous serez probablement appelĂ© Ă  participer Ă  des missions en terre Ă©trangĂšre de façon rĂ©guliĂšre, vous ne devrez jamais rĂ©vĂ©ler votre destination ni votre rĂŽle. Votre vie de famille peut en souffrir, vous devez ĂȘtre prĂ©parĂ© Ă  cela. 6Vous devez avoir du caractĂšre. Pour travailler Ă  la DGSE, vous devez avoir une grande force de caractĂšre tout en Ă©tant souple d'esprit, faire preuve de psychologie et vous devez pouvoir rĂ©agir rapidement face Ă  tout changement de situation. Conseils Soyez brillante dans vos Ă©tudes. La DGSE cherche des agents dans les grandes Ă©coles et dans les universitĂ©s. Si vous ĂȘtes brillant dans vos Ă©tudes, un agent viendra peut-ĂȘtre vous contacter. Vous devez absolument ĂȘtre discret. Avant d'entrer Ă  la DGSE, vous passerez diffĂ©rents tests qui permettront de dĂ©terminer votre fiabilitĂ©. Certains de ces tests peuvent vous mettre Ă  rude Ă©preuve ceci dans le but de savoir si vous rĂ©sistez Ă  la pression et si vous pouvez conserver une information confidentielle mĂȘme dans une situation critique. Le poste que vous obtiendrez au sein de la DGSE dĂ©pend principalement de votre formation professionnelle. Si vous ĂȘtes un militaire aguerri, vous irez certainement sur le terrain. Si vous ĂȘtes un ingĂ©nieur informatique de talent, un analyste ou un linguiste, vous travaillerez principalement dans un bureau Ă  la piscine » le siĂšge de la DGSE Ă  Paris. Certains linguistes sont particuliĂšrement recherchĂ©s, spĂ©cialement ceux qui maitrisent les langues de l'arc de crise Proche-Orient, Moyen-Orient. La DGSE n'engage gĂ©nĂ©ralement pas de gens ĂągĂ©s de plus de 40 ans sauf cas particulier. Vous devez absolument avoir la nationalitĂ© française pour entrer Ă  la DGSE. La DGSE ne fait pas de discrimination en matiĂšre de couleurs, races, religions, sexe, origines, etc. Ne pensez pas gagner beaucoup d'argent et vivre comme James Bond. La vie d'un agent de renseignement est totalement diffĂ©rente de ce que vous avez pu voir dans les films. Vous ne roulerez pas Ă  200 km/h en Aston Martin sur une petite route de montagne avec un martini-gin dans une main et avec l'autre main sur les genoux d'une jolie blonde et vous n'irez pas jouer 5 millions d'euros dans un casino. Si vous dĂ©sirez participer Ă  des missions sur le terrain, vous devriez vous orienter tout d'abord vers une carriĂšre militaire afin d'obtenir un bon entrainement. Avertissements Si vous souhaitez travailler dans un organisme de renseignement, vous devez protĂ©ger les intĂ©rĂȘts de la Nation et non pas les mettre en pĂ©ril. Vous devez ĂȘtre une personne de confiance, faire preuve de rĂ©gularitĂ©, de constance et de stabilitĂ©. Vous devrez faire des concessions pour votre travail et avoir une vie saine. Il n'est pas question de trainer dans un bar jusqu'Ă  5 h du matin pour vous changer les idĂ©es pour une mission peut-ĂȘtre, mais sans boire d'alcool. Votre vie privĂ©e doit ĂȘtre discrĂšte et stable, d'autant plus que vos communications et votre vie privĂ©e peuvent ĂȘtre examinĂ©es Ă  n'importe quel moment afin de dĂ©terminer votre fiabilitĂ©. L'entrainement que vous aurez changera certainement votre personnalitĂ© et votre mode de vie. Ne mentez en aucun cas lors des entretiens de recrutement, car mĂȘme si vous Ă©tiez engagĂ©, vous seriez ensuite dans de sĂ©rieux problĂšmes. PrĂ©parez-vous Ă  rĂ©sister Ă  la pression et au stress, vous devez apprendre Ă  contrĂŽler parfaitement vos Ă©motions. Vous devez avoir une trĂšs bonne facultĂ© d'analyse et parfois ĂȘtre un excellent psychologue pour obtenir un renseignement. ÉlĂ©ments nĂ©cessaires Un Un diplĂŽme suivant le poste auquel vous postulez Un accĂšs Ă  internet et un ordinateur RĂ©fĂ©rences À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 128 582 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?
Cest dans ce décor que les Artilleuses font un retour fracassant en se livrant à l'une de leurs activités favorites : l'attaque de banque à main armée. AventuriÚres et hors-la-loi, elles sont trois : Lady Remington, Miss Winchester et Mam'zelle Gatling. N'hésitant jamais à faire parler la poudre, elles sont connues de toutes les polices d'Europe. Ce coup, cependant, pourrait bien
Accueil ‱Ajouter une dĂ©finition ‱Dictionnaire ‱CODYCROSS ‱Contact ‱Anagramme Vol Ă  main armĂ©e, gĂ©nĂ©ralement d'une banque — Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s Recherche - Solution Recherche - DĂ©finition © 2018-2019 Politique des cookies. Togo: le concours d’entrĂ©e Ă  l’école nationale de formation sociale (ENFS) ouvert. Yao Bernard Adzorgenu 8 aoĂ»t 2022 4 mins read. Le ministre de l'action sociale, de la promotion de la femme et de l'alphabĂ©tisation et le ministre dĂ©lĂ©guĂ© chargĂ© de l'enseignement technique et de 02 Togo : de nouveaux rĂ©sultats du BAC 2 disponibles ce mercredi. 27 juillet 2022 2 mins Vol Ă  main armĂ©e Posted on 13 juin 20122 octobre 2018 Ou comment un commerce des armes insuffisamment rĂ©gulĂ© paralyse le dĂ©veloppement Le manque de rĂ©gulation en matiĂšre de commerce international des armes et de munitions affaiblit la capacitĂ© des États Ă  maintenir leurs progrĂšs en matiĂšre de dĂ©veloppement, d'une part en alimentant et en exacerbant les conflits et la violence armĂ©e, et d'autre part en dĂ©tournant des ressources des activitĂ©s destinĂ©es Ă  lutter contre la pauvretĂ©. A quelques semaines des nĂ©gociations sur le TraitĂ© sur le commerces des armes aux Nations unies, Ă  New-York, cette note intitulĂ©e "Vol Ă  main armĂ©e" dĂ©montre qu'un critĂšre spĂ©cifique sur le dĂ©veloppement, dans le cadre du traitĂ© sur le commerce des armes et aux cĂŽtĂ©s d'autres critĂšres sur les droits humains et le droit humanitaire international, est l'une des meilleures solutions pour s'assurer que les ventes d'armes n'ont pas de consĂ©quences nĂ©gatives sur le dĂ©veloppement socio-Ă©conomique. Les dĂ©penses militaires dans les pays fragiles et touchĂ©s par des conflits ont augmentĂ© de 15% entre 2009 et 2010, tandis que l'aide aux pays en dĂ©veloppement APD vers ces mĂȘmes pays n'a progressĂ© que de 9%. Les transferts d'armes irresponsables alimentent la corruption, avec des rĂ©percussions sur le dĂ©veloppement et la redevabilitĂ©. Tous les pays Ă  faible revenu et Ă  revenu intermĂ©diaire faible ayant consacrĂ© plus de 10% de leurs dĂ©penses publiques au secteur militaire en 2009 affichent des indices de corruption mĂ©diocres. En mettant l'accent sur le dĂ©veloppement, le TraitĂ© sur le commerce des armes TCA peut prĂ©venir certaines des principales entraves au dĂ©veloppement, consolider les initiatives rĂ©gionales visant Ă  prĂ©server le dĂ©veloppement et renforcer la capacitĂ© des États Ă  se conformer au traitĂ©. Auteurs du rapport Oxfam Villepinte le 28 avril 2022 DRONE VOLT, expert en intelligence artificielle embarquĂ©e et constructeur de drones civils professionnels, annonce la crĂ©ation d'une joint-venture avec la sociĂ©tĂ© 1 Le pillage des janvier 1939, Adolf Hitler prĂ©pare activement la guerre. Il est furieux, car il vient de prendre connaissance d'une note confidentielle, datĂ©e du 7 janvier, prĂ©parĂ©e Ă  son intention par le prĂ©sident du directoire de la Reichsbank, Hjalmar Schacht. Le ton du message est en effet alarmant. Le IIIe Reich, explique Schacht, est au bord de la banqueroute Il n'y a plus de rĂ©serves ni de devises Ă  la Reichsbank" Les rĂ©serves constituĂ©es par l'annexion de l'Autriche et par l'appel aux valeurs Ă©trangĂšres et aux piĂšces d'or autochtones sont Ă©puisĂ©es. Les finances de l'Etat sont au bord de l'effondrement», Ă©crit-il. L'Allemagne qui, quelques mois plus tard, va lancer ses troupes Ă  l'assaut de la Pologne, de la TchĂ©coslovaquie, de la Belgique et de la France a les caisses vides. Hitler sait que l'or est le nerf de la guerre moderne. Il permet d'acheter les matĂ©riaux stratĂ©giques nĂ©cessaires aux forces armĂ©es du Reich. DĂšs le dĂ©but de la guerre, c'est donc de maniĂšre systĂ©matique que les nazis organisent le pillage. Les victoires Ă©clairs de la Wehrmacht l'armĂ©e allemande en juin 1940 marquent le dĂ©but d'une chasse au trĂ©sor sans prĂ©cĂ©dent. Dans tous les territoires occupĂ©s, les services de la Reichsbank, les SS, les Affaires Ă©trangĂšres et les services Ă©conomiques de divers autres ministĂšres participent au pillage des lingots, des piĂšces, des bijoux et des devises. Le bras opĂ©rationnel de ce gangstĂ©risme d'Etat, ce sont les commandos mobiles, les Devisenschutzkommandos, les commandos de protection des devises». Leur pouvoir est illimitĂ© ils fouillent les caisses d'Ă©pargne, les banques privĂ©es et leurs filiales, collectent l'or des bijoutiers, des joailliers, Ă©cument le marchĂ© noir, saisissent des biens privĂ©s et forcent les coffres de certains clients des rĂ©sultats sont Ă  la hauteur des espĂ©rances des nazis. Pour la seule Belgique, entre novembre et dĂ©cembre 1940, la curĂ©e des commandos de protection des devises» rapporte l'Ă©quivalent de 4 320 millions de francs actuels et de 250 millions de devises. Revers de cette efficacitĂ© rapidement, le territoire belge n'est plus une source attractive. Le salut pour les nazis vient alors des Pays-Bas. Ils mettent la main sur 100 tonnes d'or de la banque nationale complĂ©tĂ©s par le butin des commandos de devises, en tout l'Ă©quivalent de 5400 millions de francs rĂ©actualisĂ©s. L'essentiel de ce magot de guerre paie les livraisons d'acier, de tungstĂšne, de pĂ©trole, du wolfram en provenance des pays neutres" Mais le gisement nĂ©erlandais s'Ă©puise aussi. L'or de la Banque nationale belge BNB, mis Ă  l'abri en Afrique, devient alors un enjeu central pour les nazis. Le 26 juin 1940, quatre semaines aprĂšs la capitulation de l'armĂ©e belge, le roi LĂ©opold III, prisonnier de la Wehrmacht, demande au FĂŒhrer de bien vouloir rapatrier l'or belge, qui serait cachĂ© Ă  proximitĂ© de Bordeaux. Les Allemands interrogent les autoritĂ©s de Vichy. Avec diligence, la rĂ©ponse française Ă©numĂšre les rĂ©serves d'or dĂ©posĂ©es Ă  la Banque de France 4 944 caisses qui contiennent effectivement 221, 730 tonnes d'or de la Banque nationale belge, 1 208 caisses, soit 57 tonnes d'or polonais, 10 tonnes d'or luxembourgeois, letton, lituanien, norvĂ©gien et tchĂšque. Tout cet or avait Ă©tĂ© confiĂ© Ă  la Banque centrale française pour le mettre en lieu sĂ»r. Mais Vichy prĂ©cise que cet or n'est plus Ă  Bordeaux, il est sur le continent africain. En effet, le 18 juin 1940, le mĂȘme jour oĂč de Gaulle avait lancĂ© son appel Ă  la France libre depuis Londres, vingt-quatre heures aprĂšs que le marĂ©chal PĂ©tain eut demandĂ© un armistice au IIIe Reich, une escadre d'or, comme au temps des galions espagnols, avait levĂ© l'ancre. Elle Ă©tait chargĂ©e de 288,730 tonnes d'or. Les Etats-Unis Ă©taient la destination prĂ©vue, mais les bateaux britanniques ne viendront pas au rendez-vous. Cap est donc mis sur le SĂ©nĂ©gal, loin de Hitler et des champs de batailles europĂ©ens. En France, les autoritĂ©s pĂ©tainistes veulent croire qu'elles tireront profit d'une politique de sacrifice volontaire et de collaboration avec le IIIe Reich. De leur propre initiative, elles proposent Ă  Berlin de servir d'intermĂ©diaire pour rĂ©cupĂ©rer l'or. AprĂšs tout, le SĂ©nĂ©gal est une colonie française. La rĂ©ponse allemande claque comme une gifle. Le 12 septembre 1940, Johannes Hemmen, le chef de la dĂ©lĂ©gation allemande chargĂ© de rĂ©cupĂ©rer l'or belge, lance au gouverneur de la Banque de France, BrĂ©at de Boisanger En Belgique, c'est nous qui sommes les maĂźtres. Nous avons donc tous les droits sur la Banque de Belgique, et c'est Ă  titre de client que je vous demande de mettre notre or en sĂ©curitĂ©. Je vous prie de le faire transporter en Belgique, ou tout au moins Ă  Paris.» Cette exigence est contraire au droit international. Mais on n'en est plus lĂ . Les Allemands ont dĂ©jĂ  fait main basse sur l'or autrichien aprĂšs l'Anschluss, puis sur celui de la ville libre de Dantzig. Pour l'or belge, les nazis mettent cependant les formes ils convoquent une confĂ©rence le 10 octobre 1940 Ă  Wiesbaden. Le gouverneur de la Banque nationale belge, Janssen est Ă©cartĂ©; officiellement, il est subitement tombĂ© malade». C'est von Becker, un commissaire allemand, qui le remplace. Les nazis se font le porteur d'un faux message de Janssen, qui demande le rapatriement de l'or belge. Le droit mis au pas, reste Ă  rĂ©cupĂ©rer l'or pour Hitler. Vichy vient une seconde fois au secours des Allemands. C'est novembre 1940. PĂ©tain dĂ©cide d'accomplir un geste symbolique de rĂ©conciliation» avec le IIIe Reich. Il envoie deux avions chercher quelques tonnes d'or au SĂ©nĂ©gal pour les livrer aux nazis. Puis, Vichy ordonne, sans en avertir les gouverneurs des banques centrales, de livrer la totalitĂ© de l'or belge aux Allemands. L'opĂ©ration est en soi risquĂ©e seule la voie de terre qui passe par la savane sĂ©nĂ©galaise vers le dĂ©sert saharien offre une sĂ©curitĂ© suffisante face aux sous-marins et aux avions alliĂ©s. Qu'importe! Les caisses d'or partent pour une invraisemblable odyssĂ©e. C'est d'abord ThiĂšs, puis la ville de KayĂšs Ă  l'intĂ©rieur des terres, Bamako sur la rive gauche du Niger, Kukikuru, tĂȘte de ligne du chemin de fer et ancienne capitale du Soudan français. LĂ , les caisses sont transbordĂ©es dans des camions lĂ©gers ou sur des bateaux sur le Niger, mais les inondations bloquent le convoi. AprĂšs des mois d'attente, les caisses parviennent Ă  l'oasis de Tombouctou, puis atteignent Gao, la ville sainte des musulmans d'Afrique occidentale. Nouveau transbordement et cette fois, c'est Ă  dos de chameaux ou sur des camions, que les caisses chargĂ©es d'or parcourent les 1 700 km de piste jusqu'Ă  Colomb-BĂ©char, dans le sud algĂ©rien, puis par train 1 600 km parviennent jusqu'Ă  Alger. LĂ , des avions-cargo français, puis des appareils allemands les conduisent Ă  Berlin. En tout, un voyage de dix-huit mois. Le dernier transport atteint la capitale allemande le 26 mai 1942. Impuissants, les Belges protestent. FalsifiĂ©s, les lingots sont acheminĂ©s en Suisse afin de servir l'effort de guerre L'or des l'Ă©tĂ© 1942, les camps de concentration et d'extermination livrent leur effroyable butin dents en or arrachĂ©es, montures de lunettes en or, alliances, bracelets, chaĂźnes de montres" Selon les dĂ©clarations de l'arracheur de dents de Treblinka, deux valises de 8 Ă  10 kilos sortaient chaque semaine du camp», soit l'Ă©quivalent de 2 millions de francs suisses de l'Ă©poque, rien que pour ce camp relativement peu rentable. Le ReichsfĂŒhrer Heinrich Himmler suit de trĂšs prĂšs ces opĂ©rations. Ainsi, fin juin 1944, il demande Ă  la direction du camp de concentration de Birkenwald, quelle est la quantitĂ© d'or disponible sur-le-champ. Un tĂ©lex dresse la liste macabre quelques plaquettes d'or, un pendentif de montre et six chaĂźnes, ainsi que des bracelets et des piĂšces dĂ©tachĂ©es», en tout 4,399 kilos, d'une valeur, au cours officiel, de 10 marks et 85 pfennigs. Himmler ordonne que 3 kilos soient transfĂ©rĂ©s Ă  la Reichsbank immĂ©diatement et que le reste serve ­ Ă  titre exceptionnel ­ Ă  des fins de corruption et de renseignements».A Auschwitz, les dents Ă©taient extraites tout de suite aprĂšs que les victimes eurent Ă©tĂ© asphyxiĂ©es dans les chambres Ă  gaz et avant que les corps ne soient brĂ»lĂ©s dans les fours crĂ©matoires. Ce travail Ă©tait fait par des dentistes de la Sonderkommando section spĂ©ciale composĂ©e par les prisonniers eux-mĂȘmes, appelĂ©s dans le jargon du camp Goldarbeiter. Refondu en lingots, l'or Ă©tait ensuite envoyĂ© sous escorte Ă  Oranienburg prĂšs de Berlin, oĂč se trouvait un bureau de la SS chargĂ© de la gestion des biens, qui le remettait ensuite, ou du moins en grande partie, Ă  la Reichsbank. Shlama Dragon, juif polonais, ancien membre de la Sonderkommando, qui a travaillĂ© dans les chambres Ă  gaz au camp d'Auschwitz et qui a rĂ©ussi miraculeusement Ă  survivre, raconte Quand le mĂ©decin du camp, Joseph Mengele, constatait que les hommes Ă©taient morts, il disait "Es ist schon fertig c'est dĂ©jĂ  fini, un SS ouvrait les portes des chambres Ă  gaz, et nous, munis de masques, on enlevait les corps. Dans un couloir, les coiffeurs coupaient les cheveux, dans un autre compartiment, les dentistes enlevaient les dents.»La Banque centrale du Reich rĂ©ceptionne donc l'or et les devises des juifs, mais aussi celui des adversaires du rĂ©gime en fuite ou assassinĂ©s. Les bijoux Ă  faible teneur en or ainsi que les pierres prĂ©cieuses sont Ă©coulĂ©s sur le marchĂ© parallĂšle des pays neutres ­ surtout en Suisse ­ par des collaborateurs». Ceux-ci encaissent des francs suisses et des dollars utiles pour le commerce extĂ©rieur allemand. L'or de meilleure qualitĂ© est refondu pour ĂȘtre transformĂ© en lingots, exportĂ© et masquĂ© ainsi de sa vĂ©ritable origine. Le rapport Eizenstat du nom du sous-secrĂ©taire d'Etat amĂ©ricain au Commerce demandĂ© par Bill Clinton et publiĂ© en 1996 note Une partie au moins de l'or vendu Ă  l'Ă©tranger avait Ă©tĂ© arrachĂ© aux victimes des camps de concentration ainsi qu'Ă  d'autres civils.» Quand les soldats de la 9e division d'infanterie amĂ©ricaine entrent en Allemagne au printemps 1945, ils mettent la main sur 100 tonnes de lingots d'or cachĂ©s par les nazis dans les mines de sel de Merkers, et trouvent en mĂȘme temps des valises entiĂšres de couronnes, de montres, et de bijoux en or volĂ©s aux juifs. La Reichsbank avait ouvert un compte intitulĂ© Melmer», du nom d'un responsable SS, sur lequel Ă©tait dĂ©posĂ© l'or volĂ©. Un cĂąble de l'ambassade des Etats-Unis Ă  Paris informe dĂ©but 1946 le dĂ©partement d'Etat que 8 307 des lingots rĂ©cupĂ©rĂ©s Ă  Merkers ont peut-ĂȘtre Ă©tĂ© fondus Ă  partir de couronnes dentaires rĂ©cupĂ©rĂ©es sur des cadavres». Des voix s'Ă©lĂšvent alors pour proposer de procĂ©der Ă  l'analyse de l'or rĂ©cupĂ©rĂ©, celui de Merkers comme celui que la Suisse va restituer conformĂ©ment Ă  l'accord de Washington, afin de dĂ©terminer ce qui provient des banques centrales europĂ©ennes, et ce qui provient des victimes de l'Holocauste. Mais la proposition est Ă©cartĂ©e. Nous ne savions pas qu'on pouvait dĂ©terminer si cet or provenait de dents, de bracelets ou d'autres sources», a expliquĂ© dans une interview au Los Angeles Times Seymour Rubin, un diplomate amĂ©ricain Ă  la retraite d'origine juive, qui avait nĂ©gociĂ© avec les Suisses en 1945/ le rapport Eizenstat constate Il existe des preuves indiscutables que l'or volĂ© par les nazis Ă  des civils et Ă  des victimes des camps Ă©tait systĂ©matiquement reçu, classĂ©, vendu, nanti, dĂ©posĂ© ou converti et fondu par la Reichsbank en lingots d'or, puis placĂ© dans les rĂ©serves d'or monĂ©taires de cette derniĂšre au cĂŽtĂ© de l'or volĂ© ailleurs en Europe.» Fondu, l'or SS Ă©tait impossible Ă  distinguer des lingots d'or volĂ© dans les diffĂ©rentes banques centrales des pays d'Europe occupĂ©s par les nazis. Ainsi, l'analyse d'une opĂ©ration de fonte de florins nĂ©erlandais volĂ©s, effectuĂ©e en 1943, par l'hĂŽtel des Monnaies prussien, indique que 37 kilos d'or fin provenant de pillages SS avaient Ă©tĂ© ajoutĂ©s pendant l'opĂ©ration. En l'espĂšce, cet or fut vendu presque en totalitĂ© Ă  la Allemagne, en tout cas, les archives de la Reichsbank sur l'or nazi en provenance des camps ont mystĂ©rieusement disparu. Hersch Fischler, un historien, a dĂ©couvert dĂ©but 1997, aux archives fĂ©dĂ©rales allemandes de Coblence, qu'en 1948, les AmĂ©ricains ont remis Ă  la Bank Deutscher LĂ€nder prĂ©dĂ©cesseur de l'actuelle Bundesbank les archives de la Reichsbank concernant l'or nazi. Il a mis la main sur un document indiquant que des archives, comprenant 25 chemises relatives aux livraisons d'or venant des camps, ont Ă©tĂ© donnĂ©es Ă  la Bank Deutscher LĂ€nder. Or, aujourd'hui, la Bundesbank, hĂ©ritiĂšre de la Bank Deutscher LĂ€nder et installĂ©e dans le mĂȘme bĂątiment affirme ne pas avoir lesdits La machine Ă  blanchir pillage massif et systĂ©matique de l'or dans les pays occupĂ©s et des victimes du nazisme n'Ă©tait pas une opĂ©ration laissĂ©e au hasard elle Ă©tait essentielle au financement de la machine de guerre allemande" Parmi les pays neutres, la Suisse fut le principal banquier et intermĂ©diaire financier des nazis», commente le rapport Eizenstat. La Suisse a-t-elle Ă©tĂ© le receleur de Hitler et de sa politique de pillage systĂ©matique? Et si tel est le cas, la politique de collaboration Ă©conomique de la Suisse a-t-elle prolongĂ© la guerre et occasionnĂ© des victimes supplĂ©mentaires? C'est, rĂ©sumĂ© Ă  grands traits, la perspective amĂ©ricaine dĂšs 1944, qu'a repris le rapport Eizenstat. Le gouvernement suisse rejette toujours ces accusations qu'il estime infondĂ©es. Si les interprĂ©tations divergent, les faits, eux, ne sont pas contestables. Depuis mai 1940 et la dĂ©faite de la France, la Suisse, encerclĂ©e par les forces de l'Axe, est dans une position difficile. Elle craint d'ĂȘtre Ă  son tour avalĂ©e par la Wehrmacht. Elle mobilise ses soldats, mais son plus grand atout dissuasif, tient Ă  son rĂŽle de plaque tournante et Ă  l'importance du franc suisse demeurĂ© la seule devise convertible durant toute la guerre. Ce point est capital. La machine de guerre allemande a dĂ©sespĂ©rĂ©ment besoin des pays neutres la SuĂšde lui fournit le fer et les roulements Ă  bille. Le Portugal livre plusieurs ressources minĂ©rales indispensables, dont le tungstĂšne, un additif utilisĂ© dans la production d'acier et nĂ©cessaire Ă  la construction d'armes de qualitĂ© lire page VIII. L'Espagne maintient un commerce actif de biens de matiĂšres premiĂšres. La Turquie fournit le chrome. Ces pays n'acceptent pas le reichsmark en paiement. Les nazis doivent rĂ©gler en or ou en devises nĂ©gociables sur le marchĂ©, au mieux en francs suisses. Mais aprĂšs la dĂ©faite allemande de Stalingrad, plusieurs pays neutres s'interrogent s'il est encore souhaitable d'accepter de l'or allemand» douteux. N'est-ce pas plus sage de refuser cet or, pour s'Ă©pargner des difficultĂ©s politiques dans l'aprĂšs-guerre? BientĂŽt, l'Espagne et le Portugal ne veulent plus d'or allemand». Le rĂŽle de la Suisse devient alors capital. Walther Funk, prĂ©sident de la Reichsbank constate La Suisse est le seul pays oĂč d'importantes quantitĂ©s d'or peuvent encore ĂȘtre changĂ©es en devises.» En juin 1943, il Ă©crit mĂȘme que l'Allemagne ne peut se passer de l'aide suisse pour l'Ă©change de l'or, ne fĂ»t-ce que deux mois». Dans un rapport confidentiel de trois pages datĂ© d'octobre 1942, Paul Rossy, vice-prĂ©sident de la BNS Banque nationale suisse, tire les conclusions Le Portugal n'accepte plus l'or de la Reichsbank en paiement, en partie pour des raisons politiques, sans doute aussi, pour des raisons juridiques.» Il ajoute De telles objections tombent si l'or passe entre nos mains. Nous devrions y rĂ©flĂ©chir.» Comme le dit Werner Rings qui a Ă©tĂ© Ă©crit l'ouvrage le plus documentĂ© sur la question 1, Rossy a une idĂ©e de prestidigitateur» transformer de l'or allemand en or suisse. Une parfaite opĂ©ration de blanchiment qui se concrĂ©tise par des opĂ©rations triangulaires Hitler livre contre des francs suisses de l'or volĂ©, puis paie avec ces devises, les matiĂšres premiĂšres stratĂ©giques en provenance de Turquie, du Portugal, d'Espagne" Ces pays vendent ensuite leurs francs suisses contre de l'or porteur d'un certificat d'origine suisse. Ils se voient ainsi dĂ©livrĂ©s de toute critique alliĂ©e ils peuvent prĂ©tendre n'avoir fait qu'acheter de l'or Ă  la Suisse. Ils sont blanchis» le tour de passe-passe a rĂ©ussi. Lorsque, en 1943, les AlliĂ©s mettent en garde les neutres contre le fait d'accepter l'or du Reich, il est trop tard 756 millions de francs suisses d'or allemand» dont 411 millions d'or belge ont dĂ©jĂ  pris le chemin de Berne. Pour toute la durĂ©e de la guerre, 1,7 milliard de francs suisses passent par la Suisse. Les deux tiers de l'or vendu ont Ă©tĂ© illĂ©galement acquis, pillĂ©s essentiellement Ă  la Belgique et aux Pays-Bas. De facto, sans bruit, en pleine guerre, la Suisse dĂ©tient le monopole du marchĂ© de l'or. Les chambres fortes de la BNS en sont l'Ă©picentre. Le gĂ©nie» du marchĂ© triangulaire imaginĂ© par Paul Rossy fait que des opĂ©rations de vente de produits stratĂ©giques ne se concrĂ©tisent financiĂšrement que par des dĂ©placements de quelques mĂštres dans les caves de la marchĂ© est indĂ©tectable en surface. Il suffit aux employĂ©s de la BNS de transvaser de l'or d'un dĂ©pĂŽt Ă  un autre, sans mĂȘme changer de salle. Tout l'or est en effet entreposĂ© dans une piĂšce de 120 mĂštres carrĂ©s, 39 000 lingots de 12,5 kilos sont soigneusement disposĂ©s sur des Ă©tagĂšres, 48 tonnes en tout. Le gouvernement suisse a donnĂ© sa bĂ©nĂ©diction. Une note confidentielle des Affaires Ă©trangĂšres de mai 1944 constate avec une franchise surprenante Les paiements allemands Ă  la SuĂšde s'effectuent gĂ©nĂ©ralement par de l'or Ă  Berne oĂč les lingots sont poinçonnĂ©s Ă  son chiffre" Evidemment, le public n'en sait rien et la SuĂšde n'est pas mentionnĂ©e dans les articles de presse comme un acheteur de l'or volĂ© ou pillĂ©. La Suisse lui sert, en somme, de paravent et de sauvegarde.».4 Le rĂšglement de l' 1943, les AlliĂ©s commencent Ă  faire pression sur les neutres pour refuser l'or des nazis. En 1944, AmĂ©ricains et Britanniques dĂ©clarent que les transactions sont illĂ©gales et qu'elles ne seront pas reconnues dans l'aprĂšs-guerre. Lorsque les AlliĂ©s sentent que la victoire a changĂ© de camp, Washington lance le coup d'envoi de l'opĂ©ration Safehaven» ainsi appelĂ©e parce qu'il s'agit d'Ă©viter que les avoirs nazis volĂ©s trouvent un refuge sĂ»r» confiĂ©e Ă  des agents des services secrets de l'OSS, l'ancĂȘtre de la CIA. L'objectif est triple il s'agit de bloquer le transfert d'avoirs allemands vers la Suisse et les neutres, de rĂ©cupĂ©rer l'or volĂ© et de prĂ©venir toute renaissance ultĂ©rieure du nazisme, en Ă©vitant que le IIIe Reich ne dĂ©place ses ressources hors d'Allemagne. En janvier 1945, le prĂ©sident Roosevelt Ă©crit Ă  son homologue suisse, von Steiger Ce serait une chose terrible pour la conscience, pour tout Suisse aimant la libertĂ©, de se rendre compte que son pays a freinĂ© les efforts d'autres pays aimant la libertĂ© pour dĂ©barrasser le monde d'un infĂąme tyran" Je m'exprime en ces termes parce que chaque jour oĂč la guerre se prolonge coĂ»te la vie Ă  un certain nombre de mes compatriotes.»Churchill est tout aussi clair. Mais la BNS et les banques privĂ©es suisses continuent de travailler jusqu'Ă  la fin de la guerre avec les nazis. Survient la paix. Les AlliĂ©s exigent que la Suisse restitue l'or volĂ©. Les nĂ©gociateurs alliĂ©s estiment qu'entre 200 et 398 millions de dollars-or volĂ©s sont en Suisse Ă  la fin de la guerre environ 9 et 18 milliards de francs d'aujourd'hui. C'est une nĂ©gociation homĂ©rique qui s'engage au dĂ©but 1946 Ă  Washington. Pendant soixante-huit jours, les Suisses inventent mille prĂ©textes, font preuve d'un juridisme sans limite, Ă©puisent leurs nĂ©gociateurs. A la veille de la confĂ©rence, ils nient mĂȘme avoir reçu de l'or volĂ© pendant la guerre. Pendant la confĂ©rence, ils s'en tiennent Ă  une lecture restrictive du droit international et des lois suisses. Les AmĂ©ricains veulent boucler la nĂ©gociation rapidement pour donner la prioritĂ© Ă  la reconstruction de l'Europe. Les Britanniques ne veulent pas que ces discussions s'Ă©ternisent. Selon un mĂ©mo du 22 janvier 1946 de la British Embassy Ă  Washington, les gouvernements neutres sont moralement et Ă©conomiquement dans une position beaucoup plus forte pour rĂ©sister Ă  des sanctions qu'ils ne l'Ă©taient durant les hostilitĂ©s. De plus, les AlliĂ©s ne peuvent imposer les mĂȘmes pressions morales et Ă©conomiques». La guerre froide commence. En rĂ©alitĂ©, reconnaĂźt le rapport Eizenstat, l'objectif principal des AlliĂ©s» dans l'immĂ©diat aprĂšs-guerre, ndlr Ă©tait la sĂ©curitĂ© en Europe». Il fallait Ă©viter que l'or ne soit rĂ©cupĂ©rĂ© par les nazis en fuite, consolider le front antisoviĂ©tique, et remettre sur pied une Allemagne de l'Ouest dĂ©mocratique. Il n'Ă©tait pas question de se mettre les neutres» Ă  dos pour dĂ©dommager les l'inflexibilitĂ© suisse, les AlliĂ©s rĂ©duisent alors leurs prĂ©tentions Ă  130 millions de dollars soit dix fois plus au cours actuel, puis Ă  88 millions, montant de l'or volĂ© en Belgique que les Suisses reconnurent ils paient 58 millions de dollars en 1946 pour solde de tout compte» environ 3 milliards de francs d'aujourd'hui, concernant toutes les prĂ©tentions Ă©ventuelles sur les transactions entre la Suisse et la Reichsbank. Avec un culot sans limite, les nĂ©gociateurs suisses ont fait inclure dans le prĂ©ambule, que la ConfĂ©dĂ©ration ne jugeait pas fondĂ©e en droit la restitution de l'or», mais que le gouvernement suisse Ă©tait dĂ©sireux de contribuer Ă  la pacification et Ă  la reconstruction de l'Europe, y compris le ravitaillement des contrĂ©es dĂ©vastĂ©es» !. Le 25 mai 1946, l'accord de Washington est signĂ©. Les AmĂ©ricains lĂšvent le blocage qu'ils avaient imposĂ© sur 5 milliards de francs suisses de l'Ă©poque qui se trouvaient sur leur territoire et dĂ©chirent la liste noire d'entreprises suisses qui commerçaient avec les nazis. La Suisse vient de rĂ©ussir son entrĂ©e dans le systĂšme Ă©conomique de l'aprĂšs-guerre. En septembre 1946, la commission tripartite est Ă©tablie pour examiner les demandes des gouvernements ­ et non des personnes privĂ©es ­ en vue de la restitution de l'or monĂ©taire volĂ©. ComposĂ© de reprĂ©sentants des Etats-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne, le mandat de cet organisme est de s'assurer que chaque pays demandeur obtienne restitution ­ par l'intermĂ©diaire du Gold Pool mis sur pied par ses soins ­, en proportion de ce que les Allemands avaient volĂ©. Une dizaine de pays Ă©mettent des revendications l'Albanie, l'Autriche, la Belgique, la TchĂ©coslovaquie, la GrĂšce, l'Italie, le Luxembourg et les Pays-Bas.
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