Depuisque j’ai installĂ© Les AnnĂ©es LycĂ©e, une humeur apparaĂźt constamment chez mes sims. Elle est liĂ© Ă  But de la vie, rĂ©aliser ses rĂȘves (sans donnĂ© un indice de quoi faire pour s’en dĂ©barrasser). Cela peut se traduire par de la peur, colĂšre ou stress (rien de super) Chez ado et adulte, durĂ©e 4h.
Life 05/07/2018 0700 Il y a six mois, j’ai rempli ma Coccinelle rouge de tout ce que je possĂ©dais, dont un chat noir au sale caractĂšre, et j’ai quittĂ© Toronto pour m’installer sur l’Île-du-Prince-Édouard. Vous avez probablement vu passer sur les rĂ©seaux sociaux ces photos de paysages pittoresques gĂ©nĂ©ralement une plage ou un coin de nature idyllique, accompagnĂ©es d'un texte rĂȘveur du style "Envie de tout plaquer pour changer de vie" ou "Inventons-nous un nouveau nom et recommençons une nouvelle vie Ă  l'autre bout du monde". Si ce genre de dĂ©clarations donne parfois l'impression qu'on est en cavale, avec la police aux trousses, le fond reste Ă  peu prĂšs le mĂȘme on rĂȘve tous, un jour ou l'autre, de tout quitter pour construire quelque chose de nouveau ailleurs. Je comprends cet Ă©lan. D'ailleurs, j'y ai moi-mĂȘme succombĂ©. Il y a six mois, j'ai rempli ma Coccinelle rouge de tout ce que je possĂ©dais, dont un chat noir au sale caractĂšre, et j'ai quittĂ© Toronto pour m'installer sur l'Île-du-Prince-Édouard. Je n'y connaissais personne et je n'y allais ni pour le travail, ni par amour. Je l'ai fait pour vivre une aventure et un changement excitant. Je n'avais jamais pensĂ© quitter Pickering, ma ville natale, dans la banlieue de Toronto, oĂč je m'Ă©tais installĂ©e aprĂšs quelques pĂ©rĂ©grinations durant ma vingtaine. J'y avais mes petites habitudes, mes cours de sport, une vie bien Ă  moi. J'habitais prĂšs de mes parents, de mes proches et de mes amis les plus chers. Et puis, il y a quelques annĂ©es, en revenant d'un mois de vacances Ă  Charlottetown, la capitale de l'Ăźle, j'ai compris que j'Ă©tais tombĂ©e amoureuse du lieu. J'ai Ă©tĂ© conquise par son rythme plus lent, ses paysages qui respirent le calme, sa mer cristalline et ses collines verdoyantes. Plus prĂ©cisĂ©ment, je suis tombĂ©e amoureuse de celle que j'Ă©tais sur cette Ăźle. Je me suis sentie plus en accord avec moi-mĂȘme que dans n'importe quelle autre ville oĂč j'avais vĂ©cu Florence, New York, Vancouver, Toronto. Cette Ăźle semblait correspondre parfaitement Ă  celle que je voulais ĂȘtre Ă  ce moment-lĂ  une femme proche de la nature, libre et sans entraves. En rentrant, j'ai annoncĂ© Ă  mes amis que j'aimerais un jour m'y installer. À l'Ă©poque, je pensais que ça n'arriverait pas avant de trĂšs longues annĂ©es, et pourtant, 15 mois aprĂšs, j'y Ă©tais. L'appartement de mes rĂȘves, que je n'avais louĂ© que quelques mois plus tĂŽt, s'est avĂ©rĂ© ĂȘtre un vrai cauchemar, et mon propriĂ©taire m'a proposĂ© de rompre le bail. C'Ă©tait l'occasion de rĂ©aliser mon fantasme de nouvelle vie. J'Ă©tais rĂ©dactrice freelance cĂ©libataire, je n'avais pour seule charge qu'un chat grincheux, et avec quelques bonnes Ă©conomies, j'avais toutes les cartes en main pour sauter le pas et oser ce changement radical. J'ai donc fait mes cartons, louĂ© un camion de dĂ©mĂ©nagement et organisĂ© un voyage de 18 heures Ă  travers quatre provinces canadiennes en compagnie de mon chat. Quelque 1 500 km plus loin, en traversant le pont de la ConfĂ©dĂ©ration qui dessert l'Île-du-Prince-Édouard, j'ai su que ma vie ne serait plus jamais la mĂȘme. J'ai mĂȘme compris qu'elle commençait Ă  ce moment-lĂ . Fin. Je plaisante. MĂȘme si, techniquement, tout ce que je viens de dire est vrai, il est temps de poser un regard honnĂȘte sur la maniĂšre dont se traduit, dans la rĂ©alitĂ©, ce fantasme de tout abandonner pour recommencer Ă  zĂ©ro. Car si entamer une nouvelle vie dans un endroit inconnu peut sembler trĂšs romantique et romanesque, c'est aussi trĂšs dur. Tout d'abord, on ne connaĂźt personne sur place. LittĂ©ralement personne. Je vous entends dĂ©jĂ  "GĂ©nial! C'est exactement ce qu'il me faut!" Mais reconnaissons quand mĂȘme une chose on a tous besoin de contact humain. Des Ă©tudes montrent que la solitude est aussi mauvaise pour la santĂ© que le fait de fumer 15 cigarettes par jour. Et quand on sait Ă  quel point c'est dur de se faire des amis Ă  l'Ăąge adulte, surtout pour quelqu'un comme moi qui travaille en freelance Ă  la maison, on ne s'Ă©tonnera pas que j'aie fini par me lier avec une bande de chats errants pour avoir un minimum de contact, aussi dĂ©risoire soit-il. MĂȘme si je sentais que j'Ă©tais Ă  la bonne place, je rĂȘvais parfois de repartir dare-dare Ă  Toronto. Ma folle envie de changement valait-elle vraiment le coup de vivre ce mal de pays dĂ©chirant et cette solitude absolue? Les paysages magnifiques, dont l'ocĂ©an que je voyais par la fenĂȘtre de la cuisine et les collines vallonnĂ©es dignes des paysages du roman Anne... La maison aux pignons verts compensaient-ils le confort matĂ©riel de ma ville natale? Photo Courtesy of Brianne Hogan The view from North Rustico Harbour on Prince Edward Island. Photo Courtesy of Brianne Hogan S'installer dans une nouvelle ville implique de rĂ©organiser complĂštement sa vie, et c'est vraiment pas Ă©vident! On doit s'inscrire dans de nouveaux clubs et salles de sport, se forcer Ă  inviter des gens que l'on connaĂźt Ă  peine Ă  prendre le cafĂ©, alors que ça nous stresse, passer beaucoup de soirĂ©es seul chez soi Ă  regarder Friends pour la milliĂšme fois, tout en voyant passer les photos de ses amis sur Facebook qui, eux, s'amusent comme des fous. Ce sentiment excitant de nouveautĂ© a vite disparu, me laissant tout simplement confuse, avec cette question constante "Et maintenant, je fais quoi?" Je me suis dit je ne sais combien de fois que j'avais fait une grosse erreur et qu'il fallait que je parte. Je m'imaginais tout le temps en train de charger la voiture pour repartir Ă  Toronto. Retourner dans ma zone de confort, oĂč je me sentais en sĂ©curitĂ©. Revenir Ă  ce que j'avais dĂ©jĂ  vĂ©cu des centaines de fois. Mais je ne m'Ă©tais pas tapĂ© plus d'un millier de kilomĂštres pour revivre le passĂ©. Car je savais qu'en revenant Ă  Toronto, j'allais reproduire de vieux schĂ©mas et comportements, stagner et me contenter d'une petite existence mĂ©diocre. Ce retour rimait avec routine et complaisance, Ă  l'opposĂ© de ce que j'avais envie de vivre – et de ce que j'avais rĂ©ellement vĂ©cu au dĂ©part – sur cette Ăźle. Alors, quand je retombais dans mes vieilles habitudes, je faisais en sorte de me reprendre. Car s'il y a une chose importante Ă  retenir, c'est qu'on n'Ă©chappe pas Ă  ses problĂšmes en dĂ©mĂ©nageant. Ces belles images aux phrases lyriques peuvent vous faire croire qu'en prenant son bardas pour aller s'installer ailleurs et tout recommencer Ă  zĂ©ro, on va se remettre instantanĂ©ment de sa dĂ©ception amoureuse, rĂ©aliser ses rĂȘves les plus fous, et avoir une vie meilleure, mais c'est faux. C'est impossible. Parce qu'en rĂ©alitĂ©, nous sommes les seuls Ă  pouvoir opĂ©rer ce changement. C'est Ă  nous de nous reconstruire, de faire une thĂ©rapie ou tout autre rituel de guĂ©rison pour rĂ©gler ce qui nous tracasse, parce qu'aucun voyage, mĂȘme Ă  l'autre bout du monde, ne nous dispensera de ce travail. Personnellement, j'ai dĂ» me poser trĂšs honnĂȘtement certaines questions. Je me suis dit quel que soit mon lieu de vie, de quoi ai-je vraiment envie? Et comment faire pour traduire ces objectifs en action, par petites Ă©tapes rĂ©alistes, pour parvenir Ă  la vie que je veux? Je sais que si je veux que ce changement soit efficace, je dois aussi changer. Construire une nouvelle vie en partant de rien, ça demande du temps, des efforts et de l'Ă©nergie. Un aller simple pour un coin paradisiaque ne suffit pas. Mais ce qui est encore plus fou, c'est qu'on peut se crĂ©er une nouvelle vie sans bouger d'un pouce. Pas besoin de s'infliger plus de 1 600 km avec un chat qui hurle sur le siĂšge passager pour prendre un nouveau dĂ©part. Il suffit de se demander honnĂȘtement "Pourquoi est-ce que j'ai envie de tout plaquer et de fuir?" et "Comment puis-je changer les circonstances actuelles pour me rapprocher de la vie dont j'ai vraiment envie, ici et maintenant?" VoilĂ  180 jours que je vis ici et mĂȘme si le sentiment de libertĂ© et d'Ă©volution personnelle est encore palpable, il a Ă©tĂ© Ă©moussĂ© par des projets professionnels, du bĂ©nĂ©volat et les tĂąches quotidiennes. AprĂšs six mois d'hiver digne de Game of Thrones, le printemps pointe son nez et l'Ăźle s'Ă©veille enfin. Tout devient vert, les stands de glace s'installent un peu partout et les incursions sur la plage sont maintenant frĂ©quentes. J'ai pris mes habitudes dans un cafĂ© oĂč j'aime m'attarder aprĂšs mon cours de yoga et je me suis fait quelques amis humains. Je mets de l'argent de cĂŽtĂ© pour acheter ma premiĂšre maison et ma carriĂšre de rĂ©dactrice est au beau fixe. Il m'arrive encore de me sentir seule, mais la promesse d'un renouveau Ă  venir me rend plus optimiste. En un mot, ce n'est pas le paradis, mais je m'y sens chez moi. Ce blog, publiĂ© Ă  l'origine sur le HuffPost amĂ©ricain, a Ă©tĂ© traduit par Valeriya Macogon pour Fast For Word. À voir Ă©galement sur Le HuffPost

Onne voit que ce que l'on croit. Olivier Lockert. 3. RĂ©ussir ce n'est pas toujours ce qu'on croit. Ce n'est pas devenir cĂ©lĂšbre, ni riche ou encore puissant. RĂ©ussir c'est sortir de son lit le matin et ĂȘtre heureux de ce qu'on va faire durant la journĂ©e, si heureux qu'on a l'impression de s'envoler. C'est travailler avec des gens qu'on aime.

Je vous souhaite des rĂȘves Ă  n’en plus finir Je vous souhaite des rĂȘves Ă  n’en plus finir
 et l’envie furieuse d’en rĂ©aliser quelques-uns. » Je vous ai dĂ©jĂ  offert ces voeux magnifiques attribuĂ©s Ă  Jacques Brel. Toujours aussi difficile de trouver mieux Ă  l’heure oĂč, comme chaque annĂ©e, je revisite ma Bucket List et me demande comment cette annĂ©e encore, je vais vous aider Ă  REALISER VOS REVES !
J’ai pourtant trouvĂ© mieux !!
 ou plutĂŽt plus complet !
 J’ignorais que le texte de Jacques BREL que l’on trouve sur de nombreux blogs Ă©tait raccourci et prĂ©sentĂ© dans une version donc LA VERSION INTEGRALE des voeux de Jacques BREL, entendus pour la premiĂšre fois sur Europe 1, le 1er janvier 1968 Je partage sur mon blog de l’or en barres toutes mes trouvailles, mes richesses, bref TOUT CE QUI M’AIDE A VIVRE il comporte plus de 125 articles et atteint jusqu’à 11 000 visites/jour au –merci pour votre fidĂ©litĂ© et votre soutien fidĂšle depuis fin 2012 !
 😆 
.ET EXCELLENTE NOUVELLE ANNEE A TOUS !!!
 Je vous souhaite de souhaiter. Je vous souhaite de dĂ©sirer. Le bonheur, c’est dĂ©jĂ  vouloir. Comme en droit pĂ©nal, l’intention vaut l’action. Le seul fait de rĂȘver est dĂ©jĂ  trĂšs vous souhaite des rĂȘves Ă  n’en plus l’envie furieuse d’en rĂ©aliser vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer,et d’oublier ce qu’il faut vous souhaite des vous souhaite des vous souhaite des chants d’oiseaux au rĂ©veil, et des rires d’ vous souhaite de respecter les diffĂ©rences des autres parce que le mĂ©rite et la valeur de chacun sont souvent Ă  dĂ©couvrirJe vous souhaite de rĂ©sister Ă  l’enlisement, Ă  l’indiffĂ©rence et aux vertus nĂ©gatives de notre vous souhaite enfin de ne jamais renoncer Ă  la recherche, Ă  l’aventure, Ă  la vie, Ă  l’amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude vous souhaite surtout d’ĂȘtre vous, fier de l’ĂȘtre et heureux,car le bonheur est notre destin vĂ©ritable. »Et n’oubliez pas La meilleure façon de rĂ©aliser ses rĂȘves est de se rĂ©veiller. » Paul ValĂ©ryEt actualitĂ© difficile » oblige en ce dĂ©but d’annĂ©e
, quelques mots d’Alexis Michalik accueilli avec Le Porteur d’Histoire » au Théùtre Pays de Morlaix En 2015, je nous souhaite de survivre Ă  l’horreur qu’engendre la bĂȘtise, de combattre l’intolĂ©rance par la curiositĂ© et l’humour, de pouvoir continuer Ă  dĂ©battre, publier, jouer, Ă©crire, dessiner et tourner en dĂ©rision le joyeux bordel politique, religieux, sexuel, sportif, artistique et culturel qu’est notre beau pays de mĂ©contents de tous bords, de toutes prĂ©fĂ©rences, de toutes orientations et de toutes origines. J’espĂšre qu’on continuera toujours de faire ce qu’on sait faire le mieux ici, mĂȘme si c’est souvent pour dire des conneries ouvrir sa gueule. » Et vous ? Ces textes vous ont-t-il touchĂ© ? Quels sont vos voeux pour 2015 ??
. Pour les autres ? Pour vous-mĂȘme ? QUE VOUS SOUHAITEZ-VOUS ?
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Chronique1 Toujours croire en ses rĂȘves! Alan Shepard rĂȘvait depuis son plus jeune Ăąge de partir Ă  la conquĂȘte de Mars, une planĂšte encore inconnue de l’Homme. Pour cela, chaque annĂ©e, il postulait auprĂšs de la NASA pour effectuer ce voyage. Il n’a jamais arrĂȘtĂ© d’y croire mĂȘme en voyant que certains de ses compatriotes y
Important comment changer de vie en 30 jours et prendre enfin un nouveau dĂ©part ? RĂ©ponse ici ! Dans la vie, il y a un truc que je considĂšre comme parfaitement binaire, c’est l’accomplissement de ses rĂȘves. Selon moi, il n’y que deux options soit on travaille Ă  les accomplir, soit on ne le fait pas. Et si on ne le fait pas, c’est qu’on travaille pour construire les rĂȘves de quelqu’un d’autre. Pourquoi ? C’est simple parce qu’à un moment donnĂ© il faut remplir le frigo, donc se faire embaucher par une entreprise qui va nous payer pour les services rendus. Et cette entreprise, elle a un patron qui s’est lancĂ© un jour avec le rĂȘve d’accomplir quelque chose. La boucle est bouclĂ©e soit vous prenez votre vie en main en tentant de lancer vos projets quels qu’ils soient. Soit vous ne le faĂźtes pas, et comme Ă  un moment donnĂ© il vous faudra bien survivre, vous allez travailler sur un projet que vous n’aurez pas choisi, qui sera le fruit du travail et du courage d’un inconnu que vous appellerez patron’. Je ne dis pas que l’option n°2 est forcĂ©ment mauvaise il y a des avantages Ă  subir’ la vie. On se prend probablement moins la tĂȘte, on rĂ©flĂ©chit moins, on met le cerveau en pilote automatique. On va au boulot sans se poser de questions, et on rentre le soir se vider la cervelle devant Koh Lanta. Tant que ça reste Ă  cet Ă©tat lĂ , le problĂšme n’en est pas un. LĂ  oĂč ça devient difficile, c’est quand on commence Ă  se poser des questions. A se dire que nous aussi on aimerait bien laisser une trace. Accomplir un truc. C’est comme ça que ça a commencĂ© pour moi. J’en avais marre d’avoir le sentiment d’ĂȘtre un pion remplaçable dans un Ă©chiquier gĂ©ant sur lequel je n’avais aucune prise. Mon patron me disait “fait-ci, fait-ça”, et je savais trĂšs bien que si je bronchais, y’avait 15 mecs qui attendaient dehors pour prendre mon job. Petit Ă  petit, l’idĂ©e a fait son trou pourquoi je devrais passer ma vie Ă  travailler sur les rĂȘves de mon patron, alors qu’au fond de moi j’avais envie, moi aussi, d’accomplir des choses. De crĂ©er, de laisser une trace. D’ĂȘtre vraiment utile. C’est comme ça que le 15 juin 2011 j’ai pris mes affaires, dit au-revoir Ă  mes collĂšgues, et ai franchi la porte du salariat pour la derniĂšre fois. Ma dĂ©cision Ă©tait prise j’ai des rĂȘves, et je vais les accomplir. Alors certes il y a une prise de risque dans le fait de prendre son destin en main. La premiĂšre chose, c’est qu’on ne peut blĂąmer personne d’autre que soi-mĂȘme pour d’éventuels mauvais choix. Mais la satisfaction de se dire “je vis enfin ma vie pour MOI” est immense, et compense largement les petits tracas. Si aujourd’hui vous avez des rĂȘves que vous relĂ©guez au placard, si vous aimeriez vous lancer dans leur accomplissement qu’ils soient professionnels ou non, mais que vous avez toujours un blocage au moment de passer Ă  l’action, je vous encourage vraiment Ă  mener une rĂ©flexion intĂ©rieure
 et Ă  trouver un moyen de vous lancer. Parce que d’une maniĂšre ou d’une autre, vous ĂȘtes dĂ©jĂ  en train de rĂ©aliser un rĂȘve. Ca serait dommage qu’il ne s’agisse jamais du votre. Changer de vie est Ă  votre portĂ©e Pour vous aider Ă  changer de vie, je vous ai prĂ©parĂ© les documents suivants. TĂ©lĂ©chargez TOUT gratuitement MAINTENANT 47 idĂ©es d'action pour changer sa vie PDF - 51 pages Les 7 clĂ©s du Bonheur pour devenir la meilleure version de vous-mĂȘme Mon parcours comment j'ai plaquĂ© un job et une ville pour changer de vie radicalement, et enfin ĂȘtre heureux
aA09fu. 82 209 321 206 326 22 397 288 151

croire en ses rĂȘves c est commencer Ă  les rĂ©aliser